(Voyez le mot Pollux, dans les notes, à la fin du second volume.)
(Voyez ce mot dans les notes, à la fin du premier volume.)
(Voyez le mot Scythie dans les notes, à la fin du second volume.)
Les inquisiteurs d’État ont les yeux ouverts sur votre conduite ; on vous épie, on suit tous vos pas, on tient note de tous vos projets ; on ne doute point que vous n’écriviez. […] (Note de l’édition Brière.)
NOTE SUR L’EXTRAIT DE LA POLITIQUE.
Ainsi j’ai joint aux exemples, des notes historiques, mythologiques, géographiques, que j’ai portées à la fin de chaque volume, en les rangeant par ordre alphabétique, et auxquelles j’ai eu soin de renvoyer en citant l’exemple même.
et comparez, sur la durée des représentations théâtrales à Athènes, les auteurs cités dans la note C, à la fin de l’Histoire de la Critique. — Dacier : « comme on dit que cela se pratiquait autrefois. » Batteux : « la clepsydre, dont on dit qu’on s’est servi beaucoup autrefois, je ne sais en quel temps. » C’est outrer le sens du mot φασί et supposer chez Aristote l’aveu d’une ignorance qui serait bien étrange.
Sur la question que soulève cette assertion d’Aristote, voy. la note D, § 1, à la fin de l’Histoire de la Critique.
Μἐρος signifie quelquefois les parties du genre ou l’espèce : Métaphysique, IV, 25 : τὰ εἴδη τοῦ γένους φασὶν ἐἶναι μόρια. » Batteux, dans cette note, suit Vettori. p. 176, qui rappelle aussi le sens qu’a le mot μέρος un peu plus bas dans ce même chapitre.
(Note de M. […] (Note de M.
Pour tous ces ouvrages et ces auteurs inconnus, comme dit très-bien Boileau, on nous permettra de renvoyer les curieux aux notes que n’ont point épargnées les éditeurs de ce poëte ; il nous paraît superflu d’en surcharger notre travail. […] L’édition de Saint-Marc, Amsterdam, 1772, porte ici cette note : « Henriette d’Angleterre, duchesse d’Orléans, apercevant un jour Boileau à Versailles, lui fit signe d’approcher et lui dit à l’oreille ce dernier vers. » On ne saurait imaginer de plus flatteur et de plus gracieux suffrage.
On pourra consulter sur ce sujet notre Apollonius Dyscole, Essai sur l’Histoire des Théories grammaticales dans l’antiquité, et les ouvrages cités dans les notes sur le chap.
Et comme il ne me sied nullement de rejeter de ma propre autorité les divisions de l’école adoptées par de bons rhéteurs, je les placerai en note au bas des pages4.
Dans les notes de cette seconde partie, les brèves sont indiquées par des accents graves (ˋ), et les longues par des accents circonflexes (ˆ).
Le savant Larcher a donné une fort bonne traduction de cette histoire, qu’il a enrichie d’excellentes notes. […] C’est un corps de science militaire, enrichi de notes historiques et critiques, où toutes les grandes parties de la guerre sont expliquées et démontrées. […] Brotier, jésuite, a donné une belle édition de son histoire, revue sur les manuscrits et enrichie de notes.
Dans ses Discorsi dell’arte poetica, I, p. 19, éd. 1804, après avoir marqué la différence qui, selon lui, doit exister entre les héros épiques et les héros tragiques : « Dalle cose dette può esser manifesto, che la differenza ch’è fra la tragedia e l’epopeia non nasce solamente della diversità degl’instrumenti e del modo dell’imitare, ma molto più e molto prima della diversità delle cose imitate, la qual differenza è molto più propria, è più intrinseca, e più essenziale dell’altre e se Aristotile non ne fà menzione, è perchè basta a lui in quel luogo di mostrare che la tragedia e l’epopeia siano differenti, e cio abbastanza si mostra per quelle altre due differenze, le quali a prima vista sono assai più note, che questa non è. » Mentir comme il convient.]
Feugère fils (Note de l’éditeur.)
La parole n’est qu’une note dans le concert de l’éloquence : sans le concours du geste, de l’attitude et de l’intonation, il n’y a pas d’ensemble, pas d’harmonie. […] Mais, si harmonieuse qu’elle soit, elle ne doit être dans le discours que la note dominante. […] Une faute d’accent dans le discours est choquante comme une note fausse dans un concert. […] Calme et modérée à l’exorde, la voix a des notes discrètes et des modulations caressantes ; souple et variée dans la narration, elle prend tous les tons des scènes qu’elle expose et des personnages qu’elle fait parler ou agir : arrivée à la discussion des preuves, elle devient aiguë et pénétrante ; elle imprime, comme avec une pointe acérée, la vérité dans l’âme des auditeurs ; veut-elle remuer les passions, tantôt elle s’attendrit et se trempe de larmes, tantôt elle gronde, éclate et se précipite.
Voyez la note d’Alexandre d’Aphrodise sur les Réfutations sophistiques, ch.
On m’avait, entre autres choses, objecté l’espèce de bigarrure qui résultait, dans les premiers livres, du mélange des citations anglaises ou italiennes avec les exemples grecs et latins ; j’ai senti l’inconvénient, et j’ai renvoyé en notes tout ce qui pourrait distraire de l’objet principal les lecteurs peu familiarisés avec les idiomes étrangers.
(Note de Lhomond.)
Ces notes sont aussi tendres qu’ingénieuses.