/ 221
2. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15

Si le génie est une illumination soudaine qui brille et disparaît tour à tour, comme dit Bossuet, si son attribut spécial est d’inventer et de créer, si ce don immédiat de la nature se distingue par des pensées sublimes et profondes, par des plans d’une ordonnance surprenante, par des caractères d’une nouveauté frappante, par des raisons d’une force à laquelle rien ne résiste, le talent est une disposition habituelle à réussir dans une chose, une qualité qui se distingue par l’ordre, la clarté, l’élégance, le naturel, la justesse, la grâce, un don acquis ou au moins accru par l’étude, qui se montre principalement dans les détails et qui brille par l’habileté de l’exécution. […] Mais ordinairement on entend par jugement l’opération de cette faculté, ou l’acte par lequel l’intelligence décide qu’il y a ou qu’il n’y a pas de convenance entre deux idées et distingue la vérité de l’erreur. […] Le goût distingue ce qu’il y a de conforme aux plus exactes bienséances, de propre à chaque caractère, de convenable aux différentes circonstances ; et, pendant qu’il remarque par un sentiment fin et exquis les grâces, les tours, les manières, les expressions les plus capables de plaire, il aperçoit aussi tous les défauts qui produisent un effet contraire, et il démêle en quoi précisément consistent ces défauts et jusqu’où ils s’écartent des règles sévères de l’art et des vraies beautés de la nature. […] Un homme d’un goût pur est celui qui ne se laisse jamais séduire par des beautés fausses, qui estime avec justesse, qui compare avec équité les beautés des divers genres, et qui distingue pourquoi elles ont la faculté de plaire. […] Elle a donc pour objet de distinguer, dans chaque composition soit en prose, soit en vers, ce qui est beau et ce qui est fautif ou défectueux.

3. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre II. De l’Éloquence chez les Grecs. »

Athènes ne tarda pas à se distinguer au milieu d’eux, par son goût pour tous les beaux-arts, et pour l’éloquence en particulier. […] Après Périclès, et durant la guerre du Péloponèse, on vit s’élever successivement une foule de grands hommes, Cléon, Alcibiade, Critias et Théramène, qui tous se distinguèrent par leur éloquence. […] Ce qui les distinguait surtout, c’était l’art de parler, sur-le-champ, avec la plus grande facilité ; et ce genre de mérite convenait à l’imagination ardente et légère d’un peuple que le sentiment et la pensée frappaient rapidement, et dont la langue féconde et facile semblait courir au-devant des idées. […] Mais, dans sa marche rapide, il subjugue, il entraîne l’auditeur à son gré ; et ce qui le distingue de tous les orateurs, c’est que l’espèce de suffrage qu’il arrache est toujours pour l’affaire qu’il traite et jamais pour l’orateur.

4. (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)

Le jugement est une faculté par laquelle l’intelligence compare les objets et distingue le vrai du faux. […] Il faut distinguer la naïveté de ce qu’on appelle une naïveté. […] On distingue des périodes à deux, à trois, à quatre membres, rarement au-delà. […] On distingue deux sortes de repos : la césure et le repos final. […] On distingue dans la cantate le récit et l’air.

5. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »

Le premier devoir de l’historien est de distinguer avec la plus exacte précision le faux du vrai, de rejeter tout ce qui est incertain ou d’une autorité suspecte, et de n’admettre que ce qui ne peut pas être révoqué en doute. […] Le genre de la biographie a été cultivé dès la plus haute antiquité ; mais d’abord on ne la distinguait pas nettement des autres genres d’histoire. […] Ampère, des jeux d’esprit puérils, ou des pièces de placage, dont les hommes sérieux ne font pas grand cas ; mais les détails curieux qu’il donne sur tous ses héros, et le ton de bonne foi qui le distingue, sa manière de raconter et d’apprécier leurs actes, font de son recueil un des livres à la fois les plus intéressants et les plus utiles qui nous soient parvenus de l’antiquité. […] Le cardinal de Retz, entre tous, se distingue par la vivacité et l’originalité piquante de son style, qui a suffi pour en faire un des auteurs immortels du xviie  siècle, malgré des négligences ou, si on l’aime mieux, de véritables fautes dont la noblesse se piquait un peu à cette époque. […] Le principal devoir de l’historien est de distinguer le ton, le talent, le génie particulier de chaque auteur ; de les peindre tous et de les caractériser d’après leurs ouvrages.

6. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78

Le distique sur Didon se distingue autant par la clarté que par la vérité de la pensée. […] Comment les sentiments se distinguent-ils des pensées ? […] Le sentiment énergique se distingue du sentiment vif en ce qu’il a plus de solidité et de durée. […] L’image se distingue-t-elle du tableau et de la description ? […] C’est au goût formé par l’étude et par l’usage à distinguer ces nuances.

7. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »

La nouvelle ne se distingue pas, non plus, au fond, du conte ou du roman : dans l’usage ordinaire, c’est un roman de petite dimension, dont le sujet est présenté comme tout à fait nouveau, au moins comme peu ancien, où l’on donne surtout une forme ou des détails inconnus jusqu’ici. […] On distingue d’abord les romans, quant à leur forme, en romans suivis ou continus, et romans par lettres. […] Quant au fond, on distingue les romans en plusieurs espèces, dont les principales sont le roman de mœurs, le roman intime, le roman d’intrigue, le roman historique, le roman d’éducation, le roman merveilleux ou fantastique, et le roman poétique. […] Après cette étude des romans, il n’y a rien à dire des nouvelles, qu’on distingue de la même manière entre elles, sinon qu’elles entrent quelquefois comme épisodes dans les romans considérables.

8. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160

Combien distingue-t-on de genres dans la poésie lyrique ? […] Quelle est la matière de l’ode, et comment l’ode se distingue-t-elle des autres genres de poésie ? […] Chez nous, il n’y a point de forme particulière pour ce genre de poésie ; et on ne le distingue guère que par la nature même du sentiment qui y est exprimé. […] Combien distingue-t-on de parties essentielles dans l’épithalame ? […] Son épithalame réel de Manlius et de Vinie se distingue par la fraîcheur et la beauté du coloris ; mais il est regrettable qu’il n’ait pas toujours assez respecté la décence.

9. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »

Ce n’est pas par la naïveté que ses fables se distinguent : c’est par une tournure serrée et mordante qui les fait ressembler à des épigrammes. […] Elle se distingue par une grande douceur d’idées et de style, mais l’action et la pensée manquent presque toujours ; la pièce se réduit alors à des lieux communs de morale ou de sentiment dont le lecteur se lasse promptement. […] Que si nous passons à l’étude de l’élégie en France, nous sommes obligés de distinguer. […] Nous n’en avons qu’un fort petit nombre, entre lesquels il faut distinguer surtout madame Dufresnoy et Millevoye. […] On y distingue deux parties, les récitatifs et les airs, dont la versification est déterminée par les convenances du musicien.

10. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »

On a voulu distinguer les poèmes didactiques d’après la nature de l’objet dont ils s’occupaient. […] Or, le récit est ce qui la distingue de la tragédie et ce qu’elle a de commun avec l’histoire. Le récit poétique est ce qui la distingue de celle-ci. […] On distingue le nœud principal et les nœuds subordonnés. […] Il faut d’abord distinguer deux sortes de personnages surnaturels : les uns réels, et les autres symboliques.

11. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »

Selon les uns, et c’est l’opinion que l’institution du concours général a fait prévaloir à Paris, il ne se distingue en rien des classes précédentes que par la nature des devoirs à faire. […] On pense, avec raison selon nous, que, sans négliger des exercices extrêmement utiles, il est bon de les lier entre eux par une théorie générale ; en d’autres termes, que faire sa rhétorique, ce n’est pas seulement faire avec succès les devoirs donnés dans cette classe, c’est aussi apprendre la science qui porte ce nom, et qui fait connaître et distinguer les diverses sortes de discours, leurs parties, les lieux oratoires qu’on y emploie, etc. […] un élève quittera le collège connaissant l’exorde, la narration, la confirmation et la péroraison, ou sachant très bien que les anciens distinguaient trois genres de causes, et il ignorera ce que c’est qu’une histoire, ce que c’est qu’une élégie, un poème épique, une tragédie !

12. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Précis des quatre âges de la Littérature. »

Le goût de cet art merveilleux s’empara de tous les esprits ; et les plus illustres citoyens de la république s’y distinguèrent. […] Machiavel se distingua par la profondeur de son génie, et par l’élégance de sa diction. […] Au commencement du siècle dernier, d’Aguesseau, Cochin, et Normant furent par leur éloquence, les lumières du barreau D’Avrigny, Rollin et Bougeant se distinguèrent dans le genre historique.

13. (1852) Précis de rhétorique

Distinguez chacune par son terme classique. — 3. […] Combien distinguait-on autrefois de genres de style ? […] Combien distingue-t-on d’espèces de syllepse ? […] Comment parvenir à distinguer ces deux figures ? […] Les réponses aux lettres de félicitations doivent se distinguer par la modestie.

14. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229

La mobilité d’imagination et la paresse de jugement, également naturelles à l’homme, ont fait passer, souvent à l’insu de sa volonté, les modifications spontanées ou les altérations successives du langage à l’état d’habitude, et cette habitude, une fois enracinée dans les esprits, est devenue ce qu’on appelle le génie de la langue, c’est-à-dire cette collection d’idiotismes, ces procédés de lexilégie et de construction qui distinguent une langue des autres et lui impriment un cachet particulier. […] Dans ces vers où Boileau distingue, comme on le voit, celui qui invente et dispose, l’auteur, de celui qui exprime et formule, l’écrivain, il distingue aussi, d’après Cicéron, entre les diverses fautes de langue. […] Je ne sais si Horace pardonnait à Plaute les scènes en patois carthaginois de son Pœnulus, mais la Bruyère disait de Molière : « Il ne lui a manqué que d’éviter le jargon et d’écrire purement ; » et Marmontel, en justifiant d’ailleurs sur ce point Molière, Dufresny, Dancourt, et, du même trait, nos vaudevillistes du jour, ne permet pourtant l’emploi du jargon villageois, même dans la comédie, qu’à deux conditions : s’il contribue au comique de situation, ou s’il marque une nuance de simplicité dans les mœurs, comme dans l’Ecole des femmes, par exemple, où il sert à distinguer la simplicité grossière de Georgette de la naïveté d’Agnès.

15. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »

Tout ce qui l’entoure, le frappe à la fois : il ne peut rien distinguer ; les rayons du soleil blessent ses yeux en l’éclairant. […] Le toucher corrige l’erreur de sa vue et lui révèle les formes des corps ; il distingue leur mollesse, leur dureté ; tous ses jeux sont d’actives et de profondes études. […] La langue que parlaient ces grands hommes se distinguait des autres idiomes de la Grèce par une concision si grande qu’elle était nommée laconisme : Cette manière de parler était remarquable tout à la fois par la brièveté jointe à l’énergie qui s’accordaient parfaitement avec le goût des Spartiates. […] On distingue quatre sortes d’harmonies : 1° L’harmonie des mots, 2° L’harmonie des phrases, 3° L’harmonie imitative, 4° L’harmonie des périodes. […] La suite de cette éloquente oraison funèbre se distingue par des beautés d’un ordre aussi élevé, et nous apprend qu’en général le choix des expressions, la tournure des phrases, la coupe des périodes, en flattant agréablement l’oreille, porte dans les ouvrages de ce genre ; un air de grandeur et de majesté dont les pensées seules ne pourraient, jamais les revêtir.

16. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »

On s’occupa alors de la classification des figures ; on leur donna des noms, on limita leurs emplois, et les rhéteurs distinguèrent des figures de mots, qui appartiennent plus spécialement à la grammaire, et des figures de pensées, qui sont du ressort spécial de l’éloquence. […] Il faut aussi avoir égard aux convenances des différents styles, et distinguer les métaphores qui conviennent au style poétique, et qui seraient déplacées dans la prose. […] Valois se réveille, ses regards sont éblouis du jour importun : ils ne distinguent rien ; et bientôt fatigué de ce moment de réveil, le prince se jette dans les bras du sommeil, et se rendort. […] Ces tours et ces manières de parler sont aussi faciles à distinguer des façons de parler ordinaires, que les traits d’un visage irrité, d’avec ceux d’un visage paisible. […] Homère, le père de la poésie, se distingue surtout par l’emploi de cette figure.

17. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216

Mais il faut distinguer entre ces termes. […] Le style est ce que l’on nomme, dans les arts, la manière, le faire, ce qui donne au peintre et au sculpteur son cachet, ce qui le distingue des autres et constitue son originalité. […] S’il a pu confondre le sublime avec le style sublime, il le distinguera sans peine du ton sublime. […] L’abbé de Cournand, qui publia en 1781 un poëme des Styles, poétique assez superficielle de certains genres, distingue quatre styles, le simple, le gracieux, le sublime, le sombre.

18. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »

Nous ne pouvons rien, faibles orateurs, etc. » Il s’en faut de beaucoup que cet exorde vaille celui de Fléchier : la différence même est trop sensible pour n’être pas aisément remarquée ; mais ce qui peut-être ne le serait pas de même, c’est que cette supériorité momentanée de Fléchier sur Bossuet est précisément ce qui distingue essentiellement ici l’esprit du génie. […] La modestie qui distinguait Turenne et Condé, comme elle distingue, en général, tous les hommes véritablement supérieurs, offrait aux panégyristes un contraste qu’ils ont saisi tous les trois avec habileté.

19. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »

On distingue les vers par le nombre de ces syllabes ou par le nombre de leurs pieds, en prenant régulièrement deux syllabes pour un pied. […] Les rimes se distinguent quant à leur genre, quant à leur richesse et quant à leur arrangement. […] Nous les signalons seulement ici pour montrer qu’ils contribuent, avec les inversions, les épithètes nombreuses et autres figures, à distinguer la poésie de la simple prose.

20. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »

Le poète ne peut bien distinguer et faire connaître ses personnages que par les mœurs et les caractères qu’il leur donne ; on appelle ainsi les inclinations ou habitudes bonnes ou mauvaises de chacun. […] Les ouvrages dramatiques se distinguent d’après leur dénouement heureux ou malheureux, d’après les sentiments qu’ils excitent, d’après le rang des personnages, et le ton général du style. […] C’est ce qu’on appela la nouvelle comédie, dans laquelle Philémon, Diphile et surtout Ménandre se distinguèrent. […] Dans les opéras ou grands opéras (on les nomme ainsi pour les distinguer des opéras-comiques), la musique a tout à fait exclu le langage ordinaire. […] Les opéras se distinguent ensuite, selon le caractère général de la pièce et la condition des personnages, en tragédie lyrique et comédie lyrique.

21. (1881) Rhétorique et genres littéraires

Il se distingue des deux autres par la magnificence des images, la vivacité et la hardiesse des mouvements, et le sublime proprement dit. […] Elle se distingue de la description et du tableau par le mouvement dramatique. […] On distingue plusieurs espèces de dissertations, suivant l’objet de la pensée que l’on développe. […] On en distingue deux sortes : le virelai ancien et le virelai nouveau. […] Dans tout opéra on distingue deux parties : le chant et le récitatif ou dialogue.

22. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332

Combien distingue-t-on d’espèces d’opéra lyrique ? […] Comment la comédie se distingue-t-elle de la tragédie ? […] Marmontel distingue trois espèces de comique : le haut comique ou comique noble, le comique bourgeois et le bas comique. […] Combien distingue-t-on d’espèces de comédie ? […] Il faut que les pensées se distinguent par la finesse, la délicatesse, et surtout par la vérité, la justesse, le naturel et la clarté.

23. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE I. De la propriété des mots. » pp. 2-8

On distingue trois sortes de mots, au point de vue étymologique : les mots simples ou primitifs, les dérivés et les composés. […] Les synonymes sont des mots qui expriment tous la même idée, mais avec certaines nuances, certaines modifications qui les distinguent, certaines idées particulières qui conviennent à chacun d’eux et qu’il importe de bien remarquer. […] Il est facile de juger, d’après ces exemples, que les mots synonymes, outre les idées qui leur sont communes, présentent aussi à l’esprit des idées particulières qui les distinguent et donnent à chacun d’eux le caractère qui lui est propre.

/ 221