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37. (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)

À l’exemple de du Perron et de Bertaut, elle entreprit de rendre en français quelques parties de Virgile. […] Avec l’école de Malherbe et de ses successeurs classiques, la littérature française se rapprocha davantage du caractère latin. […] Cependant alors encore le goût du public français demeure vacillant et partagé entre le bon et le mauvais. […] Tant pis si le mot n’est pas français, si la mesure est manquée, si la rime est fausse ! […] Aucun poète français ne brille par le naturel autant que lui.

38. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre lII. »

La Henriade, de Voltaire (français). […] Les Martyrs, de Châteaubriand (français). […] Soumet (français). […] Français. […] Français.

39. (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français

En quoi la poésie diffère de la versification, et quelles sont les principales formes de vers en latin et en français. […] Quelles sont les principales formes de vers en français ? […] C’est un genre français par excellence. […] — Elles appartiennent beaucoup plus aux langues anciennes qu’au français. […] Sur l’influence de l’Académie, et en général sur la formation de la prose française, voy. le IIIe livre de l’Hist. de la Littérature française, par M.

40. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270

De même que le soldat français, par son ardeur, son énergie, sa promptitude, sa disposition à tout braver, était l’instrument prédestiné du génie de Napoléon, le soldat solide et lent de l’Angleterre était fait pour l’esprit peu étendu, mais sage de sir Arthur Wellesley1. […] La vieille société française du dix-huitième siècle, si polie, mais si mal ordonnée, finit dans un orage épouvantable. […] Les partis se suivent, se poussent à l’échafaud, jusqu’au terme que Dieu a marqué aux passions humaines ; et de ce chaos sanglant sort tout à coup un génie extraordinaire qui saisit cette société agitée, l’arrête, lui donne à la fois l’ordre, la gloire, réalise le plus vrai de ses besoins, l’égalité civile, ajourne la liberté qui l’eût gêné dans sa marche, et court porter à travers le monde les vérités puissantes de la révolution française. […] (Discours de réception à l’Académie française.)

41. (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.

Et vous-mêmes, à votre tour, mettez-vous à l’œuvre : Essayez de faire des vers français […] Nous ne parlerons ici que des fautes de français et d’orthographe relatives à la rime. […] Différence essentielle entre la coupe du vers français et celle du vers latin. — Rejet ou enjambement. Durant les premiers ans du Parnasse françois, Le caprice tout seul faisait toutes les lois. […] La fin du vers français est marquée par un repos logique : c’est la fin même de la phrase, ou d’une de ses parties principales.

42. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIII. Genre oratoire, ou éloquence. »

Henri IV trouva souvent à propos ces élans d’éloquence guerrière ; il disait, à la bataille d’Ivry : « Compagnons, vous êtes Français, je suis votre roi, voilà l’ennemi ; nous courons aujourd’hui même fortune. […] Cet usage s’est introduit à l’Académie française depuis la réception de Patru en 1640. […] Prédicateurs français. […] Français. […] Français.

43. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90

Vous, monsieur, qui non-seulement étiez son frère3, mais qui avez couru longtemps une même carrière avec lui, vous savez les obligations que lui a notre poésie ; vous savez en quel état se trouvait la scène française lorsqu’il commença à travailler. […] Au contraire, après avoir paru en maître, et pour ainsi dire régné sur la scène, il venait, disciple docile, chercher à s’instruire dans nos assemblées, laissait, pour me servir de ses propres termes, laissait ses lauriers à la porte de l’Académie, toujours prêt à soumettre son opinion à l’avis d’autrui, et, de tous tant que nous sommes, le plus modeste à parler, à prononcer, je dis même sur des matières de poésie1… Extrait du discours prononcé à l’Académie française, le 2 janvier 1685, pour la réception de Thomas Corneille2. […] Les Français, il y a quinze ans, passaient pour n’avoir aucune connaissance de la navigation ; ils pouvaient à peine mettre en mer six vaisseaux de guerre et quatre galères : maintenant la France compte dans ses ports vingt-six galères et cent vingt gros vaisseaux, et un nombre prodigieux d’autres bâtiments ; elle s’est rendue si savante dans la marine, qu’elle donne aujourd’hui aux étrangers et des pilotes et des matelots. […] « Racine, qui en cette occasion, dit d’Alembert, s’était éclipsé devant le prédicateur, prit sa revanche dans ce nouveau discours, l’un des plus beaux qui aient été prononcés à l’Académie française. » On rapporte que Louis XIV, a qui Racine était venu le lire, lui dit avec cette dignité pleine de justesse qui manquait rarement à ses paroles : « Je le louerais davantage si je n’y étais tant loué. » De cette appréciation de Corneille il sera curieux de rapprocher sa Vie par son neveu Fontenelle et sou Eloge par Victorin Fabre, enfin et surtout le travail que M. […] C’est que Louis XIV a mérité d’être regardé comme le centre de tout ce qui s’est fait, dit, écrit pour lui, par lui, autour de lui. » Voy. notamment, à ce sujet, l’Histoire de la Littérature française, par M.

44. (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde

Comme Balzac, il fut membre de l’Académie française dès la naissance de ce corps, qui a exercé une si heureuse influence sur l’idiome et sur le génie national. […] Telle était la célébrité de Voiture que l’Académie française prit le deuil à sa mort (1648), hommage qui ne fut rendu à aucun autre membre de l’illustre compagnie. […] Cette journée de Rocroy devint l’époque de la gloire française et de celle de Condé. […] Les Italiens n’ont dégénéré, après le Tasse et l’Arioste, que parce qu’ils ont voulu avoir trop d’esprit ; et les Français sont dans le même cas. […] L’abbé Barthélemy fut appelé l’année suivante à l’Académie française.

45. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281

C’est que les travaux de l’Académie française sont exposés aux yeux du grand monde, et que les autres sont voilés. Chaque Français croit savoir sa langue et se pique d’avoir du goût ; mais il ne se pique pas d’être physicien. […] Il est très-certain que l’Académie française pourrait servir à fixer le goût de la nation. […] de la Motte, qui écrivait bien en prose, ne parlait plus français quand il faisait des vers. […] Célèbre érudit français (1674-1755), s’occupa de politique, d’histoire et de littérature.

46. (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie

voici la liste des propriétaires français. […] Pensez-vous que cette poignée de Français, aujourd’hui si arrogante, puisse en soutenir la vue ? […] Né à Paris en 1790, il avait avant vingt-six ans obtenu trois fois le prix d’éloquence à l’Académie française. […] Dans la chaire d’éloquence française qu’il occupa pendant dix ans (1816-1826), M.  […] Cette tendance fataliste apparaît surtout dans l’Histoire de la Révolution française.

47. (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Locutions vicieuses. » pp. 66-67

MOTS QUI NE SONT PAS FRANÇAIS : MOTS QUI SONT FRANÇAIS : Apparution pour Apparition. […] L’Académie n’admet point le verbe se suicider ; et nous espérons que le mot, formé contrairement à toutes les règles de la logique et de la grammaire, ne sera jamais français.

48. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »

qu’on peut traduire ainsi en français : Qui ? […] Le passage où il rappelle la mort si subite et si imprévue de la duchesse d’Orléans, et la stupéfaction profonde où elle plongea les Français, en peut donner la preuve. […] Les discours de Lamotte Sur l’incertitude de l’avenir et sur la crainte de Dieu (couronnés en 1708 et 1709 par l’Académie des jeux floraux) ; celui du Père Guénard Sur l’esprit philosophique (couronné en 1755 par l’Académie française) ; celui de Daunou, De l’influence de Boileau sur la littérature française (couronné en 1785 par l’Académie de Nîmes) ; celui de M.  […] Jay et Victorin Fabre (couronnés en 1810), et ceux De la littérature française au xvie  siècle, de MM.  […] La proposition de Duclos de donner pour sujets de prix les éloges des grands hommes, adoptée, à l’imitation de l’Académie française, par d’autres compagnies savantes, nous a valu, au contraire, un assez grand nombre d’ouvrages estimés ou même célèbres.

49. (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles

— Barons français en pleurent, et ainsi la plaignent. […] Le premier, en effet, il trouva la forme définitive de la phrase française, qui n’a plus chez lui rien de gauche ni d’archaïque. […] Or comme les Français, ayant souffert des extrémités incroyables de disette, étaient sur le point de quitter la Floride, Ribaud y arriva avec sept vaisseaux et quantité de toutes sortes de munitions. […] En voici une, par exemple, qui mérite d’être à jamais conservée dans la mémoire des Français. […] Le général français, qui se doute du dessein du prince, fait coucher son armée sous les armes ; il envoie à la découverte pendant la nuit M. d’Assas, capitaine au régiment d’Auvergne1138.

50. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »

La mesure des vers français ou leur mètre n’est autre chose que le nombre de leurs syllabes. […] Cela compris, les vers usités en français sont ceux de cinq, six, sept, huit, dix et douze syllabes, surtout ces trois derniers. […] La règle générale de la versification française, eu égard au genre des rimes, c’est de faire alterner les masculines et les féminines. […] En effet, chez les Grecs et les Romains, les groupes dont les odes se composaient étaient formés de vers d’une mesure déterminée qui revenaient toujours dans le même ordre ; c’est ce que signifie le mot grec strophe, en français tour.

51. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »

Le style peut être pur, c’est-à-dire, rigoureusement français, et laisser cependant beaucoup à désirer, quant à la propriété. […] Il les a cependant puisés tous dans la masse générale des mots français ; mais il n’a été ni heureux ni habile dans son choix. […] 12On peut blesser la pureté du langage de trois manières différentes : 1º en employant des mots qui ne seraient pas français, et c’est ce que les grammairiens ont appelé barbarisme. Il a lieu toutes les fois que l’on se sert de mots tombés en désuétude, ou trop nouveaux encore, et qui n’ont pas reçu du temps et de l’usage la sanction qui leur est nécessaire, pour être introduits avec succès dans le discours 13 2º La construction de la phrase peut n’être pas française, quoique tous les mots qui la composent soient strictement français : c’est ce que l’on nomme solécisme 14. 3º Enfin les mots et les phrases peuvent être choisis et arrangés de manière à ne point signifier ce qu’ils signifient ordinairement ; et ce troisième défaut est appelé impropriété.

52. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300

2° Par retranchement des lettres on syncope, au milieu des monts, amarit pour amaverit En français gaîté, enjoûment, pour gaieté, enjouement. […] Æn., X, 394 ; en français, Hanovre pour Hanover. […] Les deux lettres restent dans l’écriture ; en français, paon pour pan. […] L’une des lettres disparaît dans l’écriture ; en français, oût pour août. synalèphe ou élision, arma amens ; en français.

53. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Diderot, 1713-1784 » pp. 303-312

Le lord accordait au président que les Français avaient plus d’esprit que les Anglais, mais qu’en revanche ils n’avaient pas le sens commun. […] C’était un Français assez mal vêtu, qui lui dit : « Monsieur, je suis votre compatriote. Il y a vingt ans que je vis ici ; mais j’ai toujours gardé de l’amitié pour les Français, et je me suis cru quelquefois trop heureux de trouver l’occasion de les servir, comme il m’arrive aujourd’hui avec vous. […] Vue du port de Dieppe. — Les quatre Parties du jour. — Deux vues des environs de Nogent-sur-Seine. — Un Naufrage. — Un Paysage. — Un autre Naufrage. — Une Marine au coucher du soleil. — Sept petits Paysages. — Deux autres Marines. — Une Tempête, et plusieurs autres tableaux sous un même numéro. — Quelques-uns de ces tableaux se voient encore au Musée français. […] Français, tour elliptique.

54. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193

Ajoutons ici quelques mots sur Thomas Corneille, le frère de Pierre Corneille, et son successeur à l’Académie française. […] On sait que Corneille emprunta ce sujet et plusieurs détails à une pièce de l’Espagnol Guilhem de Castro, dont la traduction littérale a même été essayée sur notre scène ; mais on a dit bien à tort que notre grand tragique avait eu un deuxième modèle dans Diamante, tandis que celui-ci n’a fait que traduire le Cid français. […] On ajoutera que Rotrou et Corneille ont imité ici Malherbe : voy. nos Morceaux choisis des Classiques français à l’usage de la classe de quatrième, p. 74. […] Magnin, « Le Cid au Théâtre français », Revue des deux mondes, numéro du 1er février 1842. […] Ce fut dans les compositions dramatiques grâce aux encouragements de Richelieu et de Louis XIV, que se sont donné en quelque sorte rendez-vous les plus grands génies du dix-septième et du dix-huitième siècle, par une rivalité féconde qui a élevé la gloire de la scène française au-dessus de celle de tous les autres pays.

55. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre V. » pp. 82-88

Et à considérer qu’un Espagnol, assis fort à son aise, se met à tempester dès que la comédie dure plus de deux heures, quand il s’agirait même de représenter ce qui s’est passé depuis la Genèse jusqu’au jugement final, je trouve que si c’est un moyen de lui plaire, il est juste de s’y tenir. » (Lopez de Véga, Arte nuova de hacer comedias en este tiempo, publié à Madrid en 1621, et traduit un peu librement en français dans le recueil intitulé : Pièces fugitives d’histoire et de littérature, Paris, 1704, p. 256.) — Nos critiques français sont bien autrement scrupuleux sur la question des unités, et il est curieux de voir comment la rigueur des préceptes d’Aristote va peu à peu s’exagérant dans l’esprit de ses imitateurs. […] Sainte-Beuve, Poésie française au XVI e siècle, p. 328), d’Aubignac affirme que si les demi-savants doutent sur ce point, les savants n’hésitent pas  que si Aristote n’en a rien dit, c’est que la chose allait d’elle-même. […] Corneille, qui s’est tant préoccupé de ces questions, est, au témoignage de d’Aubignac, le premier poëte français chez qui l’unité de lieu soit rigoureusement gardée.

56. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -

« Jamais il ne faut permettre, a dit Nicole, que les enfants apprennent rien par cœur qui ne soit excellent ; car les choses qu’ils ont apprises sont comme des moules ou des formes que prennent leurs pensées lorsqu’ils les veulent exprimer. » Rollin demandait, d’après ce motif, des recueils français « qui, composés exprès, épargnassent aux maîtres la peine nécessaire pour feuilleter beaucoup de volumes, et aux élèves des frais considérables pour se les procurer ». […] On ne perdra pas de vue qu’aux termes de l’instruction générale du 15 novembre 1854 on doit expliquer le français dans les classes1 : ce qu’on s’était trop généralement borné à faire jusqu’ici pour le latin et pour le grec. […] C’est par l’explication, jadis nulle ou trop incomplète, des textes français, qu’ils peuvent former à la fois l’intelligence et le style des élèves, en leur montrant le sens précis des mots et souvent les acceptions successives qu’ils ont prises, surtout en leur faisant apercevoir l’enchaînement des idées et leur développement régulier.

57. (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs

La science du droit français suivit une route parallèle avec Dumoulin (1500-1566), comme nous avons vu l’étude des antiquités françaises suivre celle des antiquités grecque et latine. […] C’est aux paroles à servir et à suyvre ; et que le gascon y arrive, si le françois n’y peult aller. […] Si par essay on me vouloit donner un theme, à la mode des colleges ; on le donne aux aultres en françois, mais à moy il me le falloit donner en mauvais latin, pour le tourner en bon. […] Par lui, dit Montaigne, Plutarque est « devenu français ». […] Je m’assure que, si cet événement ne vous fait pas devenir bon Français, au moins vous aurez dépit de vous être affectionné à des gens qui ont si peu de vigueur et qui savent si mal se servir de leur avantage.

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