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35. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »

Merci se sauve dans les montagnes, on s’empare de ses munitions, et on le voit à la fin de la phrase franchir le Rhin en fugitif. […] Aussi ne les emploie-t-on qu’à la fin des strophes et des couplets. […] Le repos sert à marquer l’ hémistiche, soit au milieu du vers soit à la fin. […] C’est là, à la fin, que sont bien placés ces sortes de mots. […] FIN DU TOME PREMIER.

36. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577

Son bon sens fin et malicieux va d’un sûr instinct chercher en tout sujet l’essence de la fleur pour en exprimer le suc et le parfum. […] Non loin de lui, et avec le regret d’être séparé d’un ami si cher, Horace présiderait à son tour (autant qu’un poëte et qu’un sage si fin peut présider) le groupe des poëtes de la vie civile et de ceux qui ont su causer quoiqu’ils aient chanté : Pope, Despréaux, l’un devenu moins irritable, l’autre moins grondeur ; Montaigne, ce vrai poëte, en serait, et il achèverait d’ôter à ce coin charmant tout air d’école littéraire. […] Rien ne blase et n’éteint plus le goût que les voyages sans fin ; l’esprit poétique n’est pas le Juif errant. […] » vous qu’un sang généreux pousse aux nouvelles et incessantes conquêtes de l’art et du génie, et qu’impatiente, qu’ennuie à la fin cet éternel passé qu’on déclare inimitable, veuillez y songer un peu : les Anciens, si vantés qu’ils soient, ne doivent pas nous inspirer de jalousie : trop de choses nous séparent ; la société moderne obéit à des conditions trop différentes ; nous sommes trop loin les uns des autres pour nous considérer comme des rivaux et des concurrents. […] Sans doute quelques pèlerins du génie, comme Byron les appelle, viennent encore et jusqu’à la fin se succéderont alentour ; mais la société en masse s’est portée ailleurs et fréquente d’autres lieux… Ce sentiment qui n’est pas sans tristesse, soit qu’on l’éprouve pour soi-même, soit qu’on l’applique à d’autres, nous devons tâcher du moins qu’il nous laisse sans amertume.

37. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95

L’épigramme est une petite pièce de poésie qui présente, exprimée avec grâce et précision, une pensée délicate, fine, ingénieuse, quelquefois naïve, mais le plus souvent mordante et satirique, et toujours intéressante. […] Elles sont pour la plupart d’une extrême simplicité ; c’est assez souvent l’exposé d’un fait, quoiqu’il ne soit pas rare d’en trouver de très délicates, de très ingénieuses et de très fines. […] Il admet les tours gaulois qui semblent conserver encore cet air sans façon que nous supposons volontiers à nos pères, parce que nous nous croyons plus fins qu’eux. […] La ballade, de Βαλλείν, envoyer, est une espèce de rondeau composé de trois couplets et d’un envoi, en vers égaux, avec un refrain, c’est-à-dire avec le retour du même vers à la fin des couplets, ainsi qu’à la fin de l’envoi. […] Ce petit poème a de la grâce et de la régularité dans sa forme ; et quand le refrain en est heureusement amené à la fin des couplets, il leur donne un tour très piquant.

38. (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Introduction. » p. 4

L’e muet, comme à la fin de ces mots, homme, monde : on l’appelle muet, parce que le son en est sourd et peu sensible. L’é fermé, comme à la fin de ces mots, bonté, café : cet é se prononce la bouche presque fermée. L’è ouvert, comme à la fin de ces mots, procès, accès, succès : pour bien prononcer cet è, il faut appuyer dessus, et desserrer les dents.

39. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »

Le genre est à la fin, La foi et la charité lui disent : ma sœur ! […] Ils ne sont bien placés qu’à la fin d’un règne ou d’un siècle, pour en faire connaître les personnages principaux. […] Mais attendons la fin. […] Ce début est employé de préférence dans les compositions dramatiques ; 5° les caractères des personnages doivent être soutenus, c’est-à-dire se présenter à la fin, tels qu’au commencement. […] Deux petites taches se rencontrent encore à la fin.

40. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318

L’unité demande que toutes les parties de la description se rapportent à une même fin. […] Ce moment doit être le plus favorable ; et ces détails seront les plus propres à atteindre la fin que l’on se propose. […] Une règle essentielle, c’est que l’intérêt aille toujours croissant jusqu’à la fin. […] Le trait qui la termine doit être, comme un grain de sel, piquant et fin. […] Nous n’en citerons que quelques-uns : Pensée fine.

41. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39

Douzième Provinciale (fin). […] Le présent n’est jamais notre fin : le passé et le présent sont nos moyens ; le seul avenir est notre fin. […] Villemain dans l’éloquent morceau sur Pascal que contiennent ses Mélanges, le passage où cet écrivain décrit avec une admirable énergie la longue et étrange guerre de la violence et de la vérité… Démosthène, Chrysostome ou Bossuet, inspirés par la tribune, ont-ils rien de plus fort et de plus sublime que ces paroles jetées à la fin d’une lettre polémique ? 

42. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296

Sur la fin de sa vie, retiré dans sa ville natale3, il abandonna presque entièrement les lettres. […] Les petits soins, les attentions fines, Sont nés, dit-on, chez les Visitandines : L’heureux Ver-Vert l’éprouvait chaque jour, Plus mitonné qu’un perroquet de cour. […] Sœur Mélanie, en guimpe toujours fine, Portait l’oiseau : d’abord aux spectacteurs Elle en faisait admirer les couleurs, Les agréments, la douceur enfantine ; Son air heureux ne manquait point les cœurs. […] C’est en réalité, comme on l’a dit, le plus fin et le plus joli de nos contes en vers.

43. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Brizeux, 1803-1858 » pp. 557-563

Élégant et fin, comme la fleur sauvage des bruyères, il rappelle René, son compatriote, par un fonds de mélancolie incurable. […] Quand le plomb l’atteignit tout sautillant et vif, De son gosier saignant un petit cri plaintif Sortit, quelque duvet vola de sa poitrine ; Puis, fermant ses yeux clairs, quittant la branche fine, Dans les joncs et les buis de son meurtre souillés, Lui, si content de vivre, il mourut à mes pieds5 ! […] Que la fournaise flambe, et que les lourds marteaux, Nuit et jour, et sans fin, tourmentent les métaux ! […] Peinture vive, fine et discrète.

44. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Rochefoucauld, 1613-1680 » pp. 32-37

L’écrivain est supérieur ; fin, poli, profond, il excelle par la science du monde, le persiflage élégant, la raillerie délicate, l’épigramme mordante et la concision expressive. […] Je ne sais si le remède n’est point pire que le mal et si je ne vous prierai point à la fin de me laisser ma goutte. […] Nous voudrions être la fin de tous les desseins de Dieu, comme nous nous établissons la fin unique de tous nos projets sur la terre. » 1.

45. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »

Que les caractères particuliers soient bien marqués et parfaitement soutenus jusqu’à la fin ; que le dénouement soit amené naturellement et par degrés, et sorte du seul fond des événements, autant qu’il est possible, sans l’intervention de personnages étrangers à ce qui précède. Il est permis de rompre le fil du récit de la principale action par des incidents ou événements particuliers ; mais il faut que ces incidents soient vraisemblables ; qu’ils tiennent fortement au sujet et soient même nécessaires à son développement ; qu’ils piquent d’ailleurs la curiosité, et offrent assez d’intérêt pour dédommager le lecteur du retard qu’on met à satisfaire son impatience d’arriver à la fin des aventures. […] Il y en a une autre qu’on peut nommer morale, qui est bien importante et malheureusement négligée ou méprisée par un grand nombre de romanciers. « Le divertissement du lecteur, dit Huet, évêque d’Avranches, dans son savant Traité de l’origine des romans, n’est qu’une fin subordonnée à la principale, qui est l’instruction de l’esprit et la correction des mœurs. » Le but que l’écrivain doit se proposer est donc d’instruire sous le voile de la fiction, de polir l’esprit et de former le cœur en présentant un tableau de la vie humaine. […] Vers la fin du xvie  siècle, Honoré d’Urfé, par son roman d’Astrée, mit à la mode le roman pastoral.

46. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »

Non, sans doute : il y a un choix à faire ; et ce choix dépend d’un esprit sage et judicieux, d’un discernement aussi fin que juste. […] Que votre style soit fin, saillant, précis et varié. […] Il ne nous reste que les histoires du premier et du dernier, à peu près entières, et la fin de celle de Claude. […] Les deux premiers ont été perdus, ainsi que la fin du cinquième et le commencement du sixième : Freinshemius y a fait des suppléments. […] C’est le moyen de saisir toute la justesse, toute la vérité des réflexions fines et profondes dont il est rempli.

47. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VI. »

L’action de la fable, comme celle de l’épopée, doit avoir de l’unité, de la justesse, du naturel ; de plus, il faut qu’elle ait une étendue convenable, mais sans longueurs, avec un commencement, un milieu et une fin. […] L’auteur l’exprime ordinairement lui-même par une sorte de sentence courte et frappante, qu’il place au commencement ou à la fin du récit. […] La fable convenait singulièrement à l’esprit fin et naïf de nos pères : outre les nombreux fabliaux que nous présente le moyen-âge, citons le recueil de fables de Marie de France, tirée en partie d’Ésope.

48. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »

Tout son corps délicat, doué d’un tact fin et léger, sent délicieusement la mollesse des langes qui l’entourent, de la plume qui le porte, qui le réchauffe ; et les caresses d’une tendre mère font éprouver à tout son être la plus pure des voluptés. […] Il faudra donc se garder de mettre les effets avant les causes, tout ce qui est secondaire avant tout ce qui est principal, et enfin le milieu ou la fin avant ce qui est le commencement des choses. […] L’obscurité dépend encore de ce qu’on veut parfois paraître fin, délicat, profond, mystérieux même ; on croit ainsi éblouir le vulgaire, souvent disposé à admirer ce qu’il n’entend pas. […] Il compte des plafonds les ronds et les orales ; « Ce ne sont que festons, ce ne sont qu’astragales. » Je saute vingt feuillets pour en trouver la fin, Et je me sauve à peine au travers du jardin. […] La Période est un cercle de pensées, dépendantes les unes des autres, et tellement liées entre elles, que le sens demeure suspendu jusqu’à la fin.

49. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118

La phrase serait nette et sans la moindre obscurité, si elle était construite ainsi : L’orateur arrive, d’une manière toute particulière, à sa fin qui est de persuader. […] Dans les sujets qui appartiennent à l’imagination, l’écrivain cherche à plaire : il faut que son style soit fin, gracieux, élégant, varié. […] Il n’exclut point une certaine élégance, une fine délicatesse, un agréable enjouement ; il admet même les figures, pourvu qu’elles ne soient pas trop brillantes, qu’elles se présentent naturellement et qu’elles soient employées avec sobriété. […] Buffon regarde comme très opposé au mérite du style l’emploi de ces pensées fines et la recherche de ces idées légères, déliées, sans consistance, et qui, comme la feuille du métal battu, ne prennent de l’éclat qu’en perdant de la solidité. […] Voici la fin de ce récit que distingue la délicatesse la plus gracieuse et la plus touchante : Edgard mourut.… voilà sa pierre funéraire.

50. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331

Si de tels mots s’y trouvent, on commencera par les écrire à la fin du vers, en faisant de la première syllabe la fin du cinquième pied, et le sixième pied des deux autres syllabes : ……. fĕr | ēbānt. […] La raison de ces trois divisions que nous venons d’indiquer, savoir : la fin du vers qui comprend les deux derniers pieds, le milieu qui renferme un pied et demi, et le commencement, deux pieds et demi, c’est d’abord la difficulté que présentent les deux derniers pieds, dont l’un doit être dactyle ; c’est ensuite la césure qui doit se trouver au commencement du troisième pied. […] 1° S'il y a, dans la matière, un mot de deux syllabes, dont la première soit brève et la seconde longue, ou douteuse, ou même brève (ce qui est moins élégant), et qu’il puisse se transposer sans difficulté, on commencera par placer ce mot à la fin du vers, avec une séparation entre les deux syllabes : …….. […] Il faut éviter, comme contraire à la cadence : 1° De faire rimer une partie d’un vers avec une autre partie, ou la fin d’un vers avec le suivant. […] 3° De finir le sens à la fin de chaque vers ; ce serait une monotonie insupportable.

51. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IX. » pp. 98-101

Il a pour maxime très-nécessaire en son art, de ne suivre jamais pas à pas la vérité, mais la vraysemblance et le possible : et sur le possible et sur ce qui peut se faire, il bastit son ouvrage, laissant la véritable narration aux Historiographes qui poursuivent de fil en esguille, comme on dit en proverbe, leur subject entrepris du premier commencement jusques à la fin. » (Ronsard, Préface de la Franciade.) […] Or, s’il est vrai que la satisfaction des spectateurs soit la fin que se proposent les spectacles, et que les maîtres mêmes du métier aient quelquefois appelé de César au peuple, le Cid du poëte français ayant plu aussi bien que la Fleur du poëte grec, ne seroit-il point vrai qu’il a obtenu la fin de la représentation, et qu’il est arrivé à son but, encore que ce ne soit pas par le chemin, ni par les adresses de la Poétique ? 

52. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288

Bien des rhéteurs modernes ont parlé de l’élégance, et ont dit à ce propos des choses non-seulement justes, mais fines et délicates ; et peut-être, malgré tout, ne font-ils pas encore bien apprécier ce qu’elle est réellement. […] Le cardinal Dubois, après avoir fait l’éducation du Régent, était devenu son premier ministre ; Fontenelle lui adressa ce compliment, aussi fin que déplacé : « Monseigneur, vous avez travaillé dix ans à vous rendre inutile. » Les contrefacteurs de Hollande, ne comprenant pas l’énigme à deviner, la prirent pour une bévue de l’éditeur de Paris, et substituèrent : à vous rendre utile. […] C’est ainsi que Condillac parvient par l’analyse à donner la formule générale de ces pensées qui veulent être fines et ingénieuses, et ne sont dans le fait que communes, obscures et affectées. […] Le naïf est tout près, selon Boileau, du plat et du bouffon ; De ce style à la fin la cour désabusée Dédaigna de ces vers l’extravagance aisée, Distingua le naïf du plat et du bouffon .. […] Au xvie  siècle, c’est une jovialité épaisse, originale, érudite ; au xviie une plaisanterie plus fine, plus décente, d’une application plus universelle, spirituelle parfois jusqu’à la mignardise ; au xviiie , une ironie mordante et philosophique.

53. (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)

De même, ce qui a exigé beaucoup de peine, ou une grande dépense ; car, dès lors, on y voit un bien ; une chose arrivée à ce point est regardée comme une fin et comme la fin de beaucoup de choses ; or la fin est un bien219. […] Car la vertu et le vice sont des fins, et ce qui n’est ni vice ni vertu n’est pas une fin. […] Sont préférables aussi les choses comprises dans la fin de la vie236, car ce qui est une fin vaut mieux que ce qui n’est qu’un acheminement vers cette fin. […] De la fin de chacun d’eux. […] On ne doit pas laisser ignorer la fin de chacune de ces formes gouvernementales ; car on se détermine toujours en vue de la fin proposée.

54. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »

Voyez le mot Aquilons dans les notes à la fin du premier volume. […] Voyez le mot Morphée dans les notes, à la fin du premier volume. […] Voyez le mot Minerve dans les notes, à la fin du premier volume. […] Voyez le mot Rome dans les notes, à la fin du premier volume. […] Voyez le mot Etna dans les notes, à la fin du premier volume.

55. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440

Sa présence à la fin pourrait être importune. […] Abner a l’esprit d’un courtisan, d’un avocat et d’un diplomate. — Cette fine ironie est plus française que biblique. […] Candeur charmante et fine. […] Qui veut la fin veut les moyens. […] Ce monosyllabe criard, rejeté à la fin du vers, va bien à la voix glapissante de l’avocat.

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