Le texte peut être complété de deux façons : 1° nous avons traduit d’après la leçon de Hermann et de Græfenhan : ὁμαλὁν Batteux avait lu ce mot dans un manuscrit de Paris — 2° Vahlen (1874) lit τερατῶδες au lieu de τέταρτον. […] Ἰλίου πέρỡις, tel est le titre de quatre tragédies perdues, d’Agathon, d’Iophon, de Cléophon et de Nicomaque. — Ce qui suit dans le texte est fort obscur.
Quelquefois un discours entier a dû son mérite et son succès au choix heureux du passage qui lui sert de texte. […] Avant Bossuet, saint Jean Chrysostôme s’était servi, avec le même succès, de ce même texte, dans le discours adressé à l’eunuque Eutrope, au sujet de sa disgrâce ; Αεὶ μὲν, μάλιστα δὲ νῦν εκαιρον ἐπεῑν.
L’objet de notre travail sur la Poétique étant plus spécialement littéraire que grammatical, nous bornerons nos remarques sur ce chapitre et sur le suivant aux éclaircissements les plus indispensables pour la lecture du texte, et à quelques indications qui pourront guider le lecteur curieux de plus amples notions. […] Dans plusieurs mss. et éditions οὐϰ ἔστι manque et ἀλλά est remplacé par ϰαί, leçon qui peut à la rigueur s’entendre, et qui semble même répondre au texte suivant de la Métaphysique, XIV, 6.
Parmi nos textes, il en est qui pourront être uniquement la matière d’explications et d’analyses, tandis que d’autres, et les plus parfaits, serviront en outre à la culture et à l’ornement de la mémoire. […] C’est par l’explication, jadis nulle ou trop incomplète, des textes français, qu’ils peuvent former à la fois l’intelligence et le style des élèves, en leur montrant le sens précis des mots et souvent les acceptions successives qu’ils ont prises, surtout en leur faisant apercevoir l’enchaînement des idées et leur développement régulier.
C’est le texte de Bekker, modifié en quelques endroits ; nous reviendrons tout à l’heure sur la traduction qui l’accompagne. […] C’est aussi l’éditeur et traducteur de ce traité auquel notre travail doit le plus, bien qu’il ait été, comme la Rhétorique, exécuté sur le texte même d’Aristote. […] Elle est entrée en 1875, avec le texte grec, dans la collection entreprise par la librairie Hachette des traductions juxtalinéaires d’auteurs grecs et latins. […] Parfois même, il a glissé des interpolations dans son texte, en vue de le rendre plus clair. […] L’une consiste à faire passer dans notre langue toute la pensée et jusqu’aux expressions de l’auteur traduit, avec un tel souci de la fidélité littérale, que l’on retrouve, dans le texte français, le génie même du texte original.
Le texte de mes sermons ; elle prêchait volontiers, mais avec bien du sens. […] Fille unique du frère de madame de Maintenon. — Le texte de cette lettre a été altéré par la plupart des recueils qui l’ont citée jusqu’ici.
Il est, je l’avoue, difficile d’imaginer ce que peut être cette invention des prologues, ce mot n’ayant pas d’autre sens dans Aristote que le sens défini au chapitre XII de la Poétique mais est-ce une raison suffisante pour changer dans le texte προλόγους en λόγους contre l’autorité des manuscrits ? […] Mais comme il a servi de texte à une foule de discussions qui n’ont pas été sans influence sur l’art dramatique, particulièrement en France, on lira peut-être avec intérêt quelques extraits des controverses qui s’y rapportent : « Il suffit, dit Lopez de Véga, de s’attacher à l’unité d’action et d’éviter l’épisode, en sorte qu’il n’y ait rien d’étranger et qui nous tire du sujet principal c’est-à-dire qu’on n’en puisse détacher aucune partie, sans que la pièce tombe en ruine.
La politesse à l’égard de nos supérieurs ne permet ni de les charger de faire des compliments à une tierce personne, ni d’ajouter après le texte ou des apostilles, ou des post-scriptum. La suscription ou adresse des lettres doit correspondre au mot mis en vedette, et aux formules employées dans le texte courant.
Le texte est tiré de l’évangile du jour : Jésus fut conduit par l’esprit dans le désert pour y être tenté par le diable. […] Cette ode se compose de trente-trois strophes, dont voici l’analyse ; que l’élève veuille bien la suivre sur le texte qu’il trouvera partout. […] Voici le texte de Massillon que j’ai divisé par paragraphes pour qu’on pût le rapporter plus facilement à mon analyse.
On voit par là que l’Église dut expliquer en langue vulgaire les textes sacrés, devenus alors inintelligibles pour des générations illettrées ; et nous savons aussi que l’étude de l’idiome Roman fut imposé au clergé par le concile de Tours, vers 813. […] Contemporain de notre unité territoriale et politique, il sera définitivement constitué vers le règne de François Ier, en un siècle où on ne lit plus Joinvillo que dans une traduction, et où Marot, rééditant Villon, né soixante ans auparavant, juge nécessaire d’en expliquer le texte par des notes marginales. […] Encore faut-il attendre le xie siècle, et l’expédition de Guillaume le Conquérant, pour rencontrer dans le texte de ses lois le témoignage des progrès accomplis par l’idiome barbare que nous faisaient entrevoir le Serment des fils du Débonnaire, le Chant d’Eulalie et le fragment de Valenciennes.
Aussi n’ai-je point parcouru les livres sacrés, pour y trouver quelque texte que je pusse appliquer à cette princesse. […] Ce texte, qui convient à tous les états, à tous les événements de notre vie, par une raison particulière devient propre à mon lamentable sujet, puisque jamais les vanités de la terre n’ont été si clairement découvertes, et si hautement confondues.
Il avait pris pour son texte ces paroles de J. […] Ce que la nature a mis de sensibilité dans le cœur du juge, est le commentaire heureux du texte impassible de la loi.
Par πράττɛɩν] Il est probable qu’ici le texte est mutilé.
Ἐϰστατιϰοί, leçon qui répond bien à μανιϰοῦ et que confirme un texte des Problèmes, livre XXX, chap.
L’ancien texte est τῷ γένει, d’où Vettori avait déjà tiré la conjecture τῷγ’ ένί.
Peut-être aussi les mots ἔτɛροɩ δὲ δɩὲ τῆς φωνῆς sont-ils une annotation marginale qui aura passé dans le texte.
La proposition est acceptée, et Lucien se retire chez lui avec cet ouvrage ; il le parcourt avec avidité, et la seconde partie de l’éloge de Démosthène n’est que le texte prétendu de ce livre précieux, dont Lucien veut bien faire part à ses lecteurs.
Mais telle est la concision habituelle du style d’Aristote qu’il n’est peut-être pas nécessaire de supposer ici une altération du texte par la faute des copistes.
Voulant faire un traité vraiment didactique et élémentaire, nous avons adopté le système aujourd’hui trop abandonné des demandes ou questions dans le texte, comme plus commode et plus avantageux pour le grand nombre des élèves.
Les textes que nous donnons comme exemples à l’appui des règles sont généralement courts ; il eût été facile de les multiplier et de les étendre ; mais les chrestomathies sont toujours là pour fournir au besoin des modèles.