/ 262
91. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »

Vous n’avez point sans doute oublié que ce même Nicias, sur le sort duquel vous allez prononcer, est celui qui plaida votre cause dans rassemblée des Athéniens, et qui employa tout son crédit et toute son éloquence pour les détourner de vous faire la guerre. […] Il proscrit de la véritable éloquence les pensées fines, les idées légères, l’esprit mince et brillant, qui est nuisible à l’expression des grandes choses. […] Section III. — Genre sublime Le Genre sublime développe toutes les richesses et les ressources de l’éloquence : ses qualités distinctives sont : l’énergie, la véhémence, la magnificence, la majesté, la hardiesse des figures et l’éclat des images. […] Dieu a voulu ainsi apprendre aux hommes qu’il n’a point besoin, pour le récit des grandes choses qu’il a faites, de recourir à la vanité de l’éloquence ni de s’assimiler aux savants ou aux philosophes qui font si complaisamment parade d’esprit et de science dans leurs écrits. Les auteurs profanes ne paraissent occupés que du soin d’embellir leurs discours ; les auteurs sacrés racontent avec la plus grande naïveté sans viser aux charmes de l’éloquence.

92. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20

Il a inauguré l’éloquence des idées. […] Je savais que les langues que l’on y apprend sont nécessaires pour l’intelligence des livres anciens ; que la gentillesse des fables réveille l’esprit ; que les actions mémorables des histoires le relèvent, et qu’étant lues avec discrétion elles aident à former le jugement ; que la lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés, qui en ont été les auteurs, et même une conversation étudiée en laquelle ils ne nous découvrent que les meilleures de leurs pensées ; que l’éloquence a des forces et des beautés incomparables ; que la poésie a des délicatesses et des douceurs très-ravissantes ; que les mathématiques ont des inventions très-subtiles, et qui peuvent beaucoup servir tant à contenter les curieux qu’à faciliter tous les arts et diminuer le travail des hommes ; que les écrits qui traitent des mœurs contiennent plusieurs enseignements et plusieurs exhortations à la vertu qui sont fort utiles ; que la théologie enseigne à gagner le ciel ; que la philosophie donne moyen de parler vraisemblablement1 de toutes choses et de se faire admirer des moins savants ; que la jurisprudence, la médecine et les autres sciences apportent des honneurs et des richesses à ceux qui les cultivent ; et enfin, qu’il est bon de les avoir toutes examinées, même les plus superstitieuses et les plus fausses2, afin de connaître leur juste valeur et se garder d’en être trompé. […] J’estimais fort l’éloquence, et j’étais amoureux de la poésie ; mais je pensais que l’une et l’autre étaient des dons de l’esprit plutôt que des fruits de l’étude.

93. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478

Si nous consultons les mémoires du temps, si dans ses paroles à demi figées sur le papier nous cherchons à reconnaître l’inspiration primitive, nous voyons un homme audacieux par le caractère autant que par le génie ; attaquant avec véhémence, lorsqu’il aurait eu peine à se défendre ; faisant passer les mépris qu’on lui avait d’abord montrés pour le premier des préjugés qu’il veut détruire ; y réussissant à force de hardiesse et de talent, et ressaisissant par l’éloquence l’ascendant sur les passions qu’il cesse de flatter. […] Washington, lui dit-il ; votre modestie égale votre valeur, et cela surpasse toute la puissance de parole que je puis posséder. » Enfin, en 1774, à la veille de la grande lutte, en sortant du premier congrès formé pour la préparer, Patrick Henry, l’un des plus ardents républicains de l’Amérique, répondait à ceux qui lui demandaient quel était le premier homme du congrès : « Si vous parlez d’éloquence, M. […] On n’est bien jugé que par ses pairs. — C’est aux orateurs à parler de l’éloquence et de ses maîtres.

94. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -

Puisque l’importance des belles-lettres est proclamée d’une voix unanime, quelle serait la position d’un jeune homme, dans la bonne société, s’il n’était pas initié à la connaissance des principes littéraires, s’il ignorait les règles relatives aux éléments, aux qualités, aux ornements du style, ainsi que les moyens de se former à l’art d’écrire, et s’il ne possédait pas des notions exactes sur la poésie et sur l’éloquence ? […] Comme notre Poétique, tout en complétant le cours, peut être facilement séparée des deux autres volumes, on aura dans le Style et dans la Rhétorique tous les principes de l’art d’écrire et toutes les règles de l’éloquence.

95. (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde

C’est l’Université en effet qui est la gardienne naturelle des grandes traditions du goût et de l’éloquence. […] Aucun n’a parlé aux passions un langage plus propre à les captiver et à les soumettre : aucun n’a mieux connu le cœur humain et ne l’a peint avec plus d’éloquence. […] Mais, en général, quel faux goût d’éloquence ! […] Émule, dans la prose, des maîtres de notre époque classique, Voltaire s’est, toutefois, élevé rarement au ton de la haute éloquence. […] Euripide veut s’en emparer ; on va discuter leurs titres : le dernier est soutenu par un grand nombre de gens grossiers et sans goût, qu’ont séduits les faux ornements de son éloquence.

96. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bourdaloue 1632-1704 » pp. 89-93

Dix-huit années de préparation studieuse à laquelle s’ajouta l’expérience du monde nourrirent sa forte éloquence, qui, à partir de 1669, se multiplia sans relâche pour semer le bon grain. […] De pareils accents nous montrent que le cœur est la source de l’éloquence.

97. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »

« L’élocution, dit Crévier, est à l’éloquence ce que le coloris est à la peinture. […] De même, en éloquence, le fond du discours est dans les choses et dans les pensées ; l’ordre et la distribution en forment le dessin et le contour ; mais l’élocution achève l’ouvrage de l’invention et de la disposition ; elle lui communique l’âme et la vie, la grâce et la force. » Ce qui est dit ici de l’élocution appliquée à l’éloquence peut s’entendre du style dans tous les genres de littérature. […] Le style périodique convient surtout aux grands sujets, à l’éloquence grave et mesurée, aux descriptions pompeuses, aux larges développements de l’histoire ; toutes les fois enfin qu’il faut adopter un ton sérieux, solennel, et donner aux idées une certaine ampleur. […] Les figures sont la richesse et la parure du style ; elles donnent à la poésie son plus beau coloris, à l’éloquence ses plus beaux mouvements ; sans elles, le style est nu, froid et languissant. […] L’éloquence et la poésie emploient souvent cette figure.

98. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »

Son éloquence insinuante et invincible était encore plus attachée aux charmes de sa personne qu’à la force de ses raisons. […] C’était la coutume des anciens ; mais quand on pense que les discours qu’ils prêtent à leurs personnages n’ont jamais été tenus, que ce sont des pièces d’éloquence qu’ils ont composées eux-mêmes à l’occasion des faits qu’ils rapportent, il est difficile de croire que ces discours, malgré le mérite de la composition, ne sont pas dans l’ouvrage des défauts réels. […] Inventez un nouveau calcul, composez un poème sublime, ayez surpassé Cicéron ou Démosthène en éloquence, Thucydide ou Tacite dans l’histoire, je vous accorderai la célébrité, mais non la gloire. […] La vérité lumineuse opère par elle-même sur les esprits, sans le secours artificiel de l’éloquence. […] Cette dernière partie comprend les notices biographiques, ou éloges des académiciens morts par les confrères survivants, dont nous avons dit quelques mots à propos de l’éloquence académique.

99. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre III. Analyse et extraits des Harangues d’Eschine et de Démosthène, pour et contre Ctésiphon. »

Eschine qui avait un très grand talent et un fort bel organe, ne devait voir qu’avec peine un orateur tel que Démosthène, sans lequel il aurait primé dans sa ville, et par la supériorité de son éloquence, et par son influence dans le ministère public. […] La célébrité de la cause et l’importance de son objet, l’attente d’un nombreux auditoire, leur firent épuiser toutes les ressources, tous les moyens de l’éloquence, dans ces deux harangues qui sont le chef-d’œuvre du genre judiciaire. […] Mais il est temps de voir lutter ces deux redoutables athlètes, armés, l’un, de toute la force de la vérité et de l’éloquence ; l’autre, de toutes les subtilités des sophismes les plus ingénieux, de tous les artifices de la mauvaise foi la plus insigne.

100. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VI. » pp. 89-94

Il est plus probable qu’Aristote oppose le caractère sérieux et sincère de l’ancienne éloquence, soit en vers, soit en prose, à l’éloquence plus savante, mais moins naturelle, dont les rhéteurs donnaient les préceptes et l’exemple.

101. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318

Nous donnerons dans les deux autres volumes les règles de la poésie et les principes de l’éloquence. […] L’éloquence et la poésie doivent ordonner leurs compositions sur ce modèle. […] La narration demande, en général, une marche grave, une éloquence contenue, une simplicité élégante. […] Nous verrons plus loin que la lettre admet même en quelque cas la dignité, la noblesse et l’éloquence. […] La lettre peut-elle s’élever jusqu’à l’éloquence ?

102. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Massillon. (1663-1742.). » pp. 120-123

Aucun n’a parlé aux passions un langage plus propre à les captiver et à les soumettre ; aucun n’a mieux connu le cœur humain et ne l’a peint avec plus d’éloquence. […] Outre La Harpe, il faut voir encore sur cet orateur l’abbé Maury, qui le loue beaucoup et ne le critique guère moins, Essai sur l’éloquence de la chaire, chap. 58.

103. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270

Il a l’éloquence du patriotisme. […] « Abondante, aisée, simple et lumineuse, son éloquence sait prêter un intérêt qui captive aux arides détails des affaires les plus compliquées, parcourir sans s’égarer tous les détours des questions les plus vastes, répandre sur les plus obscures le jour éclatant de l’évidence, semer comme en se jouant sur sa route les vérités brillantes et les mouvements heureux, et, cachant une méthode réfléchie sous les dehors d’une improvisation facile, déployer un art d’autant plus savant qu’il conserve tout le charme de l’abandon et tout l’entraînement du naturel, reproduire enfin cette grandeur négligée qu’on admirait dans M.

104. (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368

Tout contrefacteur ou débitant de contrefaçons de cet Ouvrage sera poursuivi conformément aux lois. Toutes mes Editions sont revêtues de ma griffe. Avant-propos. Le succès toujours croissant de la nouvelle Méthode, à laquelle ce Cours est adapté, nous dispense d’en faire l’éloge, et d’ajouter un tardif et obscur hommage aux suffrages éminents qui l’ont accueillie dès son apparition. En offrant au public ce recueil, nous n’avons point la prétention chimérique de suivre pas à pas la théorie de l’auteur, de présenter chacun des exercices qui composent notre ouvrage, comme le développement spécial d’une règle de la Méthode.

105. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre VI. Massillon. »

ne trouve-t-on pas dans le sentiment tout seul des maux qu’on endure, cette éloquence vive, ces mouvements persuasifs, ces remontrances pressantes qui en sollicitent le remède ? […] La richesse et l’élégance ne sont pas les seuls caractères de l’éloquence et du style de Massillon : ses discours offrent aussi de la grandeur et de l’énergie, et s’élèvent, quand il le faut, à l’éloquence la plus sublime.

106. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356

Par des pamphlets tantôt sérieux jusqu’à l’éloquence, tantôt plaisants jusqu’à la bouffonnerie, il livre le parlement Meaupou à la risée de l’Europe, immole la justice tout en paraissant n’attaquer que ses indignes ennemis, et s’érige en avocat du droit commun. […] Il désigne ici le premier président Nicolaï ; cette réticence envers un nom respecté devient un nouveau trait d’éloquence. La manière dont ce motif oratoire est conçu et exécuté, cette continuité de souffle, cette supériorité de ton, cette verve d’ironie et de gaieté composent un morceau d’éloquence digne d’être rapproché des Provinciales.

107. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387

Son principal ouvrage, Les soirées de Saint-Pétersbourg (1814), nous montre un docteur altier qu’anime une verve sombre, et l’éloquence convaincue d’une logique passionnée. […] Cette éloquence sauvage s’élève jusqu’à une sorte de poésie biblique. […] — elle est grande par la science, grande par l’industrie, grande par l’éloquence, grande par la poésie et par l’art.

108. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533

J’étais stoïcien avec Sénèque ; j’aurais voulu être le parfait citoyen avec Cicéron, l’homme juste, généreux, aimable, n’usant de son éloquence que pour défendre les faibles ou pour soutenir l’État contre les factieux : une douce chaleur se répandait dans mon âme et me rendait meilleur en me faisant croire à la vertu, au désintéressement, à l’héroïsme. […] que la théorie de Pelisson s’applique bien à ces grands hommes, et qu’il est vrai que la solidité est, avant tout, le caractère de leur éloquence ! […] Sans être poëte ou orateur, qui peut m’empêcher d’adorer la poésie et l’éloquence à ma manière, et de répéter bien humblement, mais du fond du cœur, ces vers si touchants de Virgile : Me verò primùm dulces ante omnia Musæ, Quarum sacra fero ingenti perculsus amore, Accipiant ! 

109. (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs

Pour l’estimation et préférence de Terence, faict beaucoup que le pere de l’éloquence romaine l’a si souvent en la bouche, seul de son reng ; et la sentence que le premier juge des poètes romains donne de son compaignon133. […] Son style, quelquefois surchargé de souvenirs et de citations antiques, a la franchise, la force, l’éloquence de l’honnêteté. […] Son éloquence est trop souvent cette « faiseuse de bouquets » et cette « tourneuse de périodes », qui « ne songe qu’à faire la belle », qu’il a si bien distinguée de l’éloquence « d’affaires et de service ». […] Il vaut mieux retenir quelques billets délicats, et une admirable lettre sur la politique de Richelieu, où Voiture, devenu sérieux, a une fermeté de jugement et une éloquence inattendues. — Les lettres de Voiture ont été publiées pour la première fois deux ans après sa mort. — Voir l’édition Ubicini, 1855, 2  ol. […] Dans la solitude de Port-Royal, il conçut et prépara, au milieu de souffrances continues, un grand ouvrage apologétique de la religion chrétienne, dont les fragments, trouvés et publiés après sa mort sous le nom de Pensées, ont une éloquence d’une incomparable puissance : logique, passion, imagination, tout y a un caractère unique de force et de grandeur.

110. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »

La comparaison est surtout du domaine de la poésie ; mais l’éloquence ne se l’interdit point. […] Héreau, est une des figures les plus riches de l’éloquence et de la poésie ; ses qualités sont la clarté, la netteté, la justesse et une judicieuse étendue, car il faut choisir les analogies et non les épuiser. […] La première est la litote et la seconde l’hyperbole, mais employées toutes deux oratoirement, c’est-à-dire avec les développements propres à l’éloquence. […] L’analyse, que nous nommerons aussi décomposition, consiste à examiner séparément les éléments constitutifs du discours, soit dans l’éloquence écrite, soit dans l’éloquence parlée. […] La tragédie et l’éloquence pathétique l’emploient de préférence.

/ 262