Mais ni lui, ni Dumarsais, ni aucun rhéteur, que je sache, n’a songé à remonter à la véritable origine de la métaphore, qui pourtant me paraît assez facile à reconnaître.
On provoque l’agitation quand on est agité soi-même ; l’indignation, quand on est en proie à une colère véritable. […] Lorsque les tortures nous sont favorables, il y a lieu d’insister sur ce point que ce sont les seuls témoignages véritables.