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91. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241

Mais cependant, mon fils, tu meurs si je n’arrête Le fer que le cruel tient levé sur ta tête. […] Il voudrait en vainqueur vous apporter sa tête : Le seul nom d’assassin l’épouvante et l’arrête. […] Quels horribles serpents leur sifflent sur la tête !

92. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre III. du choix du sujet. » pp. 38-47

Depuis quand n’a-t-on plus le droit d’interroger le statuaire sur la fantaisie qui lui fait tirer de ce marbre si blane et si pur un vase, par exemple, quelque admirable qu’en soit le travail, plutôt que la tête de Jupiter ? […] On relit Don Quichotte, Gil Blas, Ivanhoe, le Vicaire de Wakefield, tout ce qui parle à l’esprit et au cœur ; mais à quel homme ingénieux est-il venu en tête de relire un roman d’Anne Radcliffe, par exemple ?

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