Il ne suffit pas en effet de concevoir bien pour énoncer clairement. […] Nodier, si bon juge en matière de langue : « Il ne suffit pas de s’abstenir d’inventer des mots, il faut se garder encore de les détourner de leur sens, car un terme déplacé devient souvent un barbarisme dans la phrase où il se glisse.
Pour être vertueux, il suffit de vouloir l’être ; et si vous avez bien cette volonté, tout est fait, votre bonheurs est décidé. […] La conscience lui suffit.