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132. (1872) Cours élémentaire de rhétorique

Par lui l’épopée a conquis ses droits, et de ces deux chefs-d’œuvre, comme d’une source féconde, vont dériver en leur temps et le drame de la tragédie et celui de la comédie, La poésie elle-même n’aura plus de secrets : ils se sont tous révélés dans le vers d’Homère. […] L’humanité et avec elle le pompeux spectacle des merveilles que la nature offre à nos avides regards, voilà sur quels objets doit s’exercer incessamment notre sensibilité, et c’est la source la plus abondante du pathétique. […] Voulez-vous tarir la source de la race royale ? […] Les pronoms, dans notre langue, en sont une source intarissable et l’on ne saurait dire tout ce qu’il en coûte à ceux qui savent écrire, pour s’épargner l’embarras de ces petits mots dont la phrase a besoin. […] Ouvrez Homère et vous trouverez, à leur source, toutes les perfections qui constituent le mérite du vers, rejets, coupes, suspensions, harmonie imitative : on peut dire que c’est de là qu’elles ont été empruntées par tous les grands poètes, anciens et modernes.

133. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -

Tempéré, facile, clair, délié, abondant et familier, son style coule de source.

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