Après avoir fait le portrait de plusieurs genres de fous, Boileau termine ainsi : N’en déplaise à ces fous nommés sages de Grèce, En ce monde il n’est point de parfaite sagesse ; Tous les hommes sont fous, et, malgré tous leurs soins, Ne diffèrent entre eux que du plus ou du moins. […] Phèdre se plaint de sa coiffure et des soins dont on l’obsède. Quelle importune main, en formant tous ces nœuds, A pris soin sur mon front d’assembler mes cheveux ?
La Poétique d’Aristote est écrite comme elle est pensée, avec un soin, un scrupule qui ne permet pas au lecteur la moindre distraction.