Cette rime était bonne au dix-septième siècle, pour l’oreille comme pour les yeux, à raison de la prononciation semblable des deux mots françois et lois. — Voyez la citation dans le premier chant de l’Art poétique.
» Ne soyons donc pas, comme le disait Voltaire, « semblables à ces avares qui ne veulent pas convenir de leurs richesses, et crient sans cesse que les temps sont bien durs ».