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80. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Malherbe. (1555-1628.) » pp. 160-164

Cette rime était bonne au dix-septième siècle, pour l’oreille comme pour les yeux, à raison de la prononciation semblable des deux mots françois et lois. — Voyez la citation dans le premier chant de l’Art poétique.

81. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -

» Ne soyons donc pas, comme le disait Voltaire, « semblables à ces avares qui ne veulent pas convenir de leurs richesses, et crient sans cesse que les temps sont bien durs ».

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