Aussi peut-on remarquer une conformité singulière entre toutes les époques où les arts ont fleuri, et cette conformité a quelque chose de bien affligeant.
C’est la troisième fois que nous remarquons ces rapports entre les Arguments des pièces grecques et des textes d’Aristote ils indiquent évidemment des emprunts, mais des emprunts dont on ne peut aujourd’hui apprécier l’étendue et l’importance.