Le premier devoir de l’amitié n’est pas de répandre des larmes stériles sur le cercueil d’un ami, mais de se rappeler, mais d’exécuter ses dernières volontés.
Ce drame se rapproche de la comédie par le ton simple du langage, il admet la prose aussi bien que les vers, et il mêle quelquefois le rire aux larmes qu’il fait répandre.