Il trouva le principe générateur, la grande loi d’harmonie universelle qui présida à la création et au développement de la langue française. […] Préférant à tout l’intérêt de l’art, il ne fit jamais, quoi qu’il pût lui en coûter, la moindre transaction avec ses principes sacrés.
Là ils pensaient chacun de son côté, car ils n’étaient plus tant en communauté de pensées : l’abbé, revenu des subtilités inutiles et fatigantes968, s’était tourné principalement du côté des réflexions sur l’homme, sur les mœurs, et sur les principes du gouvernement.