Sous la main de Descartes, elle prend déjà quelques-uns de ces caractères1.
Il est des écrivains qui se figurent que l’univers entier s’occupe de ce qui les occupe, qui prennent un air rogue pour débiter des vétilles, qui s’appesantissent sur de minutieux détails historiques ou philologiques, à peine dignes d’être effleurés, qui moutent en chaire et prêchent, quand il faudrait causer.