On dira, sans doute, qu’il ne faut pas juger les poètes si sévèrement, et que la poésie a des licences qui l’affranchissent des entraves de la prose.
Dans un sens plus large, on dit qu’il peut y avoir partout de l’éloquence comme il peut y avoir partout de la poésie. […] Une poésie morte et des discours glacés, voilà tout ce que l’esprit philosophique pourra tirer de lui-même : il enfante et ne peut donner la vie.