Songez qu’une bouteille qui a été fêtée quand elle était pleine d’eau des Barbades, est jetée dans un coin dès qu’elle est cassée, et qu’elle reste en morceaux dans la poussière ; que voilà ce qui arrive à tous ceux qui n’ont songé qu’à être admis à quelques soupers ; que la fin d’une vieillesse inutile, infirme, est une chose bien pitoyable.
On a un exemple de mœurs mauvaises gratuitement, dans le Ménélas de l’Oreste 6 ; de mœurs non convenables, dans les lamentations d’Ulysse, dans la Scylla, et dans les discours trop savants de Ménalippe ; et de mœurs inégales dans l’Iphigénie à Aulis : car Iphigénie est faible et suppliante au commencement, et à la fin elle est pleine de force et de courage.