Elle ne manque jamais aux hommes ; mais les hommes insensés se manquent à eux-mêmes, en négligeant de la cultiver ; c’est par leur paresse et par leurs désordres qu’ils laissent croître les ronces et les épines en la place des vendanges et des moissons : ils se disputent un bien qu’ils laissent perdre1. […] Les montagnes se sont élevées et les vallons sont descendus en la place que le Seigneur leur a marquée. […] On vous place d’abord après Homère3.
. — Le Pronom est un mot qui tient la place du nom. […] 39. — Les pronoms il, elle, ils, elles, doivent toujours être du même genre et du même nombre que le nom dont ils tiennent la place : ainsi, en parlant de la tête, dites : elle me fait mal ; elle, parce que ce pronom se rapporte à tête, qui est du féminin et au singulier ; et en parlant de plusieurs jardins, dites : ils sont beaux ; ils, parce que ce pronom se rapporte à jardins, qui est du masculin et au pluriel.