Tout ce chapitre est condamné par Ritter : 1° parce qu’il interrompt les belles analyses d’Aristote sur l’action tragique 2° parce qu’il ne contient que des définitions sèches et superficielles 3° parce que les premières lignes et les dernières trahissent la main d’un interpolateur, qui veut faire l’important et rattacher de son mieux sa maigre science au texte du philosophe. — Voy.
Nous retrouvons ici le génie du naturaliste philosophe. […] Il y a dans le savant un philosophe ému d’une sorte de respect religieux pour les grands phénomènes de l’univers. […] Et qui est plus l’ennemy d’un homme paisible que le furieux soldat, du paysan débonnaire que le guerrier sanguinaire, du philosophe que le capitaine, des sages que les fois ?