Nous eûmes beaucoup de ces ouvrages du temps du cardinal de Richelieu c’était son goût, ainsi que celui des Espagnols il aimait qu’on cherchât d’abord à peindre les mœurs et à arranger une intrigue, et qu’ensuite on donnât des noms aux personnages, comme on en use dans la comédie : c’est ainsi qu’il travaillait lui-même, quand il voulait se délasser du poids du ministère.
C’est du trésor de leur cœur que sortent tant de généreux mouvements, tant de pures et brillantes images où se peint leur amour du juste et du vrai. » 1.