Je suis pauvre, très-pauvre, et vis pourtant fort bien, C’est parce que je vis comme les gens de rien. […] Je veux que la misère écrase l’opulence, Que le pauvre à son tour ait le droit d’insolence, Qu’on tremble devant ceux qui manqueront de pain, Et qu’ils aient leurs flatteurs, courtisans de la faim. […] Va du pauvre au riche que tu flattes ; Prends-toi d’amour subit pour les aristocrates ; Va, va, ce n’est pas toi qui les peux relever ; — Prends garde de te perdre, en voulant les sauver ! […] Il devait arriver de deux choses l’une : ou que Rome changerait son gouvernement, ou qu’elle resterait une petite et pauvre monarchie. » 1. […] Le pauvre homme !
Dieu, dis-je, qui, selon l’Écriture, a en horreur le pauvre superbe ? […] Si tout le monde souffre, les pauvres ne souffrent-ils pas ? Et si les souffrances des pauvres se trouvent chez les riches, à quoi doivent être réduits les pauvres mêmes ?