Nous nous sommes fait un devoir, comme on a pu l’observer, de rapprocher le texte de la traduction, afin de bien convaincre le lecteur, que ce qu’il y a de plus attendrissant dans l’ouvrage de Florian, appartient exclusivement à la beauté de l’original, et que ces traits n’ont besoin, pour être admirés et sentis, que de passer sans altération d’une langue dans une autre.
De là ils passeraient à des écrivains également remarquables, mais chez qui la liaison des idées est moins manifeste, Pascal, Bossuet, Montesquieu.