Une route riante et unie paraît moins longue, parce qu’elle fatigue moins, qu’un sentier réellement plus court, mais rude et raboteux. […] « On veut trop éblouir et surprendre, dit encore Fénelon ; on veut avoir plus d’esprit que son lecteur et le lui l’aire sentir, pour enlever son admiration ; au lieu qu’il faudrait n’en avoir jamais plus que lui, et lui en donner même sans paraître en avoir.
Aux danses des guerriers, A la course, aux combats, j’ai paru des premiers. […] Ses vers, demeurés pour la plupart inédits, parurent pour la première fois, en 1819, chez Foulon et Baudouin, par les soins d’un littérateur distingué, M. de la Touche, qui eut la bonne fortune d’associer son nom à celui d’A.