Pardonnons beaucoup à celui qui a écrit tant de belles pages sur la liberté, sur la vertu et sur Dieu ; mais réservons notre admiration tout entière pour les écrivains du dix-septième siècle, parce qu’en eux la simplicité, la naïveté même est unie à la grandeur, que la grâce y est la parure de la force, et la solidité l’essence même de leur génie. […] Cette page termine une lettre adressée à M. le prince de la Cisterna : M.
Villemain, Casimir Delavigne, dans ses bonnes pages, sont les meilleurs modèles de l’élégance du style. […] La délicatesse est plus rare ; je ne la rencontre guère que dans la Fontaine, dans Vauvenargues, dans MMmes de Sévigné et de la Fayette, dans quelques pages de Bernardin de Saint-Pierre, de Florian, de Collin d’Harleville et de Xavier de Maistre.