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34. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VII. des passions  » pp. 89-97

L’avocat plaide, dans la même matinée, deux causes diverses ; le poëte, et remarquez que c’est là le ressort continuel de l’action scénique, introduit deux interlocuteurs opposés de sentiment comme d’intérêts ; le romancier, d’une page à l’autre, peint avec une égale énergie deux passions rivales. […] Parcourez de ce point de vue certaines pages de la Fontaine, de madame de Sévigné, de J.

35. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »

Un conte de trois pages ne s’appellera jamais un roman ; tandis qu’un roman est, dans toute la rigueur du terme, un conte suffisamment long ; et, comme il y a des contes qui sont, en effet, fort longs, il est évident qu’on pourrait les appeler tout aussi bien des romans. […] Donnons ici, comme un modèle de l’art de faire ces petits récits, la page que La Harpe consacre au mesmérisme dans sa Correspondance littéraire, à propos de la mort de Court de Gébelin.

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