Enfin, Solon, des premiers, et dans le but probable de piquer la curiosité d’un peuple avide de nouveautés, rompt brusquement, un jour, la mesure poétique et ouvre à la prose la voie où elle va entrer. […] Ainsi revivaient sous ce nom ces jeux mêmes d’Olympie pour lesquels s’était passionnée la Grèce : la lice s’ouvrait comme autrefois, aux preux, aux chevaliers, armés de toute pièce et il n’y manquait qu’un Pindare pour que la similitude fût parfaite. […] Que ton âme, divin Auguste, en possession du ciel, que ton image, ô mon père Drusus, que ta mémoire, avec ces mêmes soldats dont l’âme s’ouvre au sentiment de l’honneur et de la gloire, effacent cette tache et tournent nos dissensions civiles à la perte de nos ennemis ! […] Par le centre ouvert de la terre, est du remplissage. […] quel asile m’est ouvert ?
Le Ciel ouvrira tous ses trésors ; il versera les pluies dans le temps favorable, et la terre se couvrira des plus riches moissons.