Le Brun lui a consacré une de ses premières odes, où la noblesse des sentiments se joint souvent à l’éclat des vers. […] Il faut aussi rappeler la belle imitation qu’en a faite le poëte Sarrazin dans son ode sur la bataille de Lens ; c’est en parlant du prince de Condé : Il monte un cheval superbe, Qui, furieux aux combats, A peine fait courber l’herbe Sous la trace de ses pas.
Quelques odes d’Horace respirent les grâces, comme quelques-unes de ses épîtres enseignent la raison.