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28. (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles

— Perd la couleur, choit aux pieds de Charlemagne, — immédiatement est morte. […] Il mourut dans la retraite en 1679. […] J’aime mieux encore qu’ils meurent sous la main d’un autre que sous la mienne. […] Il se tourmenta si fort dans sa cage, et but tant de vin avec la vieille, qu’il en mourut. […] Un Pichon vient de mourir à Paris, et laisse de petits Pichons.

29. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Massillon. (1663-1742.). » pp. 120-123

On sait combien elles furent stériles ; toutefois Massillon mourut avant que la sagesse du cardinal de Fleury eût cessé d’être un frein pour ce prince : il n’eut pas la douleur de voir les désordres scandaleux qui signalèrent la seconde partie de son règne. […] Né dans la Provence en 1663, il mourut en 1742. […] Le duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, mourut en 1712, quelques jours seulement après sa femme, la dauphine Marie-Adélaïde de Savoie. Le duc de Bretagne, leur fils, les suivit de près et mourut le 8 mars de la même année.

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