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288. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378

— Par an, ma foi, monsieur, Dit avec un ton de rieur Le gaillard1 savetier, ce n’est point ma manière De compter de la sorte ; et je n’entasse guère Un jour sur l’autre : il suffit qu’à la fin J’attrappe le bout de l’année ; Chaque jour amène son pain. 

289. (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145

En second lieu Périclès avait un génie bien supérieur aux subtilités de l’école ; son éloquence grave, majestueuse, était celle d’un homme d’État, non d’un rhéteur, et il est vraisemblable que s’il s’exerçait à la controverse avec les orateurs, c’était par manière de passe-temps, comme les duellistes consommés, qui ne font des armes que pour s’entretenir la main7.

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