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61. (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)

Vous y pourriez peut-être assez mal réussir. […] La tragédie pèche gravement contre la vraisemblance des caractères et des mœurs, et les rôles sont mal établis. […] Il faut que de mes maux enfin je me délivre. […] Je crois qu’ils ont raison, et mon mal est réel. […] C’est un méchant métier que celui de médire ; À l’auteur qui l’embrasse il est toujours fatal : Le mal qu’on dit d’autrui, ne produit que du mal.

62. (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles

Autant que557 l’abord de cette ville est fâcheux, autant elle est désagréable, ses rues vilaines, ses maisons mal accommodées et mal prises. […] Je serais bien fou de m’aller fourrer parmi eux, pour recevoir quelque coup qui me ferait mal. […] Quand je ne serai plus inquiet de votre mal, je vous écrirai des nouvelles du siège de Namur. […] Offrez bien au bon Dieu tout le mal que vous souffrez, et remettez-vous entièrement à sa sainte volonté. […] Ceux qui veules qu’on ne parle pas mal d’eux n’ont qu’une seule ressource, qui est de bien faire.

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