Rappelons qu’elles furent improvisées au jour le jour par une personne distinguée, qui ne voulut être et ne fut que l’ange gardien d’un foyer où la mère de famille n’était plus. […] Que doit sentir une mère pour ces gracieuses créatures ! […] » je ne sais quoi lui répond et fait qu’elle s’apaise à peu près comme quand un enfant pleure et qu’il voit sa mère.
S’il est mis après, il prend le genre : la feue reine ; votre feue mère. […] On ne dira donc pas : mes père et mère ; ses père et mère ; nos grands et petits appartements ; leurs grands et petits appartements. Il faudra dire : mon père et ma mère ; son père et sa mère ; nos grands et nos petits appartements ; leurs grands et leurs petits appartements. […] = Ils ont laissé leur mère désolée, succomber à sa douleur. […] on ne craint point qu’il venge un jour son père ; On craint qu’il n’essuyât les larmes de sa mère.