; Les quatre rimes alarmes, armes, charmes, larmes 138 id. […] Ma mère est devant vous ; et vous voyez ses larmes.
En voyant l’eau du ciel qui les couvrait de larmes, Je les pris en pitié sans deviner pourquoi, Et tu me dis alors : « Mon frère, un d’eux, c’est toi ; L’autre, c’est moi. » Soudain le fer brille. […] Quand le poète présente dans tous le cours de l’action ou dans quelques parties seulement des situations propres à exciter la sensibilité et à faire verser des larmes, la pièce reçoit le nom de comédie larmoyante ou tragédie bourgeoise.