qu’est devenu ce temps, cet heureux temps, Où les rois s’honoraient du nom de fainéants ; S’endormant sur le trône, et me servant sans honte, Laissaient leur sceptre aux mains ou d’un Maire, ou d’un Comte !
Mais en ayant été abandonnée, elle en ressentit une si vive douleur, qu’elle se laissa mourir de faim.