Si ces impressions sont légères, les mouvements qui se font sentir dans notre âme, sont doux ; et alors on les nomme simplement sentiments.
Que cela soit vrai, ou ne le soit pas, il ne sera pas moins certain que le grammairien doit toujours faire remarquer les fautes, même les plus légères, échappées à nos bons écrivains, de peur que l’autorité de ces hommes supérieurs ne jette quelque incertitude dans les règles.