/ 198
196. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »

Les preuves à l’appui de ce qu’on raconte ou qu’on propose forment la confirmation ; celles que l’on apporte pour combattre les idées d’un adversaire sont la réfutation ; l’une et l’autre sont souvent précédées d’une division, si le sujet est assez étendu pour qu’il soit nécessaire d’en déterminer les parties.

197. (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145

Il les meine et les manie dextrement avec deux timons principaux, la crainte et l’espérance, refrénant avec l’une la fierté et témérité insolente de la commune en prospérité, et avec l’autre reconfortant son ennuy et son découragement en adversité 6.

/ 198