Traduit de l’Iliade, I, 223, ce distique justifie le jugement que le royal élève d’Amyot, Charles IX, bon juge en matière de poésie, portait sur les vers de son précepteur.
Alexandre fut grand guerrier ; on le dit, je le veux croire ; mais Homère est grand poëte ; je le vois, j’en juge moi-même, et si je l’admire, c’est avec pleine connaissance, non sur la foi des traditions.