La joie dont elle enivre notre âme, n’est point une joie vive et folâtre : mais elle est douce, tranquille, délicieuse et inaltérable.
C’est une joie pour moi. […] Tous nos plaisirs sont faux, notre joie indécente. […] je reviens, quelle joie ! […] Mais un hurlement de joie et un cri doux et plaintif s’élevèrent à la fois du fond de l’abîme. […] Le chant est aussi souvent la marque de la tristesse que de la joie.