Il recula par de grandes conquêtes les frontières de son royaume, et passait pour le plus heureux prince de toute l’Asie, lorsque son Empire fut détruit par les Grecs.
Parfaitement instruit dans l’art de régner et de faire des heureux, il donnait les plus belles espérances à la France, lorsqu’il lui fut enlevé à la fleur de son âge, en 1712, six jours après la mort de la duchesse son épouse, et un an après être devenu l’héritier du trône par la mort du grand dauphin.