O frère de la mort, que tu m’es ennemy ! […] C’est un de ses frères en plaisir, en paresse et en poésie qui a dit : Esprit mâle et hautain, De l’immortel Molière immortel devancier.
Massillon (du petit nombre des élus) veut prouver que peu de chrétiens ont droit de prétendre au salut à titre d’innocence ; il parcourt les états, les conditions, les diverses occupations des hommes : « Le frère dresse des embûches au frère ; le père est séparé de ses enfants, l’époux de son épouse ; il n’est point de lien qu’un vil intérêt ne divise ; la bonne foi n’est plus que la vertu des simples ; les haines sont éternelles ; les réconciliations sont des feintes, et jamais on ne regarde un ennemi comme un frère : on se déchire, on se dévore les uns les autres. […] Deux frères, qui étaient les plus considérables de la ville, avaient préparé pour Annibal un festin magnifique. […] ô mon frère ! […] Dieu seul est grand, mes frères ! […] I, sc. 5 : On égorge à la fois les enfants, les vieillards, Et la sœur et le frère, Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son père !