*** Que la foule a brisé ses instruments de mort, Et reporte aux autels sa joie ou son remord. […] Des biens des nations ravisseurs altérés, Le bruit de nos trésors les a tous attirés : Ils y courent en foule ; et, jaloux l’un de l’autre, Désertent leur pays pour inonder le nôtre.
Il y a une foule de petits soucis voltigeants, qui viennent chaque matin à votre réveil, et qui ne vous quittent plus jusqu’au soir ; ils se relayent pour vous agiter. […] La vertu ne perce point la foule ; elle n’a ni avidité ni empressement, elle se laisse oublier.