Nous ne pouvons un peu que parce que nous voulons beaucoup, et nous n’arrivons au bien que parce que nous avons l’idée du mieux : tant éclate partout, dans nos actions comme dans nos sentiments, ce contraste de grandeur et de misère, de faiblesse et de force, qui fait le fond du cœur et de l’esprit humain2 ! Je cherche un exemple de cette force qui tient à notre impuissance même.
Il aime la force : ses plus légères nouvelles sont comme sculptées sur l’airain. […] cria-t-elle en se précipitant dans ses bras et l’étreignant avec force, Orso !