C’est ce qu’on voit dans ces vers de Voltaire : Vaincu, mais plein d’espoir, et maître de Paris, Sa politique habile, au fond de sa retraite, Aux ligueurs incertains, déguisait sa défaite.
Nous nous plaisons à la lecture d’un auteur qui nous affranchit de la fatigue de chercher le sens de ses phrases, et qui nous conduit, sans embarras et sans confusion, à travers son sujet, par la magie d’un style qui coule comme un ruisseau limpide dont l’œil peut facilement pénétrer le fond. […] On ne saurait le lire, dit Fénelon, sans voir qu’il portait la république dans le fond de son cœur. […] À l’instant, du haut d’une éminence, une troupe de gens armée fond sur Milon ; ceux qui l’attaquent par-devant tuent le conducteur de sa voiture.