Oreste s’exprime ainsi devant Pyrrhus : Avant que tous les Grecs vous parlent ma voix, Soutirez que j’ose ici flatter de leur choix ; Et qu’à vos yeux, seigneur, je montre quelque joie De voir le fils d’Achille et le vainqueur de Troie. […] C’est ainsi que l’ombre d’Arcésius termine son discours à Télémaque ; il lui parle du châtiment des mauvais rois : Crains donc, mon fils, crains une condition si périlleuse : arme-loi de courage contre toi-même., contre les passions et contre les flatteurs.
Lire dans Corneille le discours du vieil Horace défendant son fils (Horace, acte V, scène ii.) […] Horace oublie un lieu où son fils peut subir le supplice, celui où il a tué sa sœur. […] Cri du vieil Horace, quand on lui annonce que deux de ses fils ont été tués et que le troisième a pris la fuite. […] Et devez-vous souffrir, pour votre démêlé, Que du logis d’un père un fils soit exilé ? […] « Ô mon fils !