Ils s’amusent singulièrement des petits drames dans lesquels figurent ces personnages ; ils y prennent parti pour le faible contre le fort, pour le modeste contre le superbe, pour l’innocent contre le coupable. […] Le maître du chien n’a ni âge, ni condition, ni fortune ; le faible est pour le chien le seul puissant de ce monde ; le vieillard lui est un enfant aux fraîches couleurs ; le pauvre lui est roi.
La raison est notre partage et semble nous associer aux immortels ; mais combien elle serait faible, sans la faculté d’exprimer nos pensées par la parole, qui en est l’interprète fidèle !