Enfin, les bourreaux fatigués s’arrêtent1, la hache échappe de leurs mains : je ne sais quelle vertu céleste, émanée de la croix, commence à les toucher eux-mêmes ; à l’exemple des nations entières, subjuguées avant eux, ils tombent aux pieds du Christianisme, qui, en échange du repentir, leur promet l’immortalité, et déjà leur prodigue l’espérance. […] S’ils ne confirmaient pas leur enseignement par leur exemple, s’ils vivaient de la vie de la chair en appelant les hommes à celle de l’esprit, qui les écouterait ?
Voilà des exemples du sublime de sentiment.