/ 252
60. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »

Bossuet met, dans l’aveu de la même faute, cette franchise courageuse qui ne cherche point à déguiser la faiblesse d’un moment, quand on lui peut opposer une vie entière de vertus. […] Les prospérités militaires laissent dans l’âme je ne sais quel plaisir touchant qui l’occupe et la remplit tout entière.

61. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »

On voit pourquoi ces rimes sont appelées riches : c’est qu’elles embrassent la syllabe consonante tout entière, indépendamment de la syllabe muette qui la suit dans les vers féminins. Les rimes superflues sont celles qui embrassent non seulement la syllabe consonante tout entière, mais tout ou partie de la syllabe précédente, comme auteur et hauteur, Faret et cabaret, courtisan et partisan.

/ 252