Vous demanderez peut-être quelques règles de disposition pour le dialogue, comme pour le récit, la description et le portrait. […] Si la disposition en était telle qu’à chaque scène on partit d’un point pour arriver à un point déterminé, en sorte que le dialogue ne dût servir qu’au progrès de l’action, chaque replique serait à la scène ce que la scène est à l’acte, c’est-à-dire un nouveau moyen de nouer ou de dénouer. […] Je me borne à cette observation sur la disposition épistolaire.
La forme en est toute singulière ; la disposition de ses compartiments est tout à fait neuve et originale, sans que pourtant cette forme, cette disposition choquent en rien la raison et le jugement des bons connaisseurs.