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53. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

L’un et l’autre ne doivent pas être confondus : on verra en quoi ils différent. […] Des plantes, des métaux tu connais la vertu, Des différents pays les mœurs, la politique, La cause des frimas, de la fortune, du vent,             Des astres le pouvoir suprême ;             Et sur tant de choses savant,             Tu ne te connais pas toi-même. […] C’est ce qu’on a pu voir dans les différents exemples que j’ai cités. […] Le sublime peut naître de trois différentes sources ; des pensées, des sentiments, des images. […] Si ces différents morceaux traduits en notre langue, éclatent par tant de beautés sublimes, combien plus admirables encore doivent-ils être dans la langue hébraïque !

54. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fénelon. (1651-1715.) » pp. 101-109

Nos muses ne doivent point être jalouses l’une de l’autre : leurs genres sont si différents ! […] L’ode demande une autre harmonie toute différente, que vous avez trouvée presque toujours, et qui est plus variée que la mienne. […] Cela veut dire, j’ai sacrifié quelque chose de la simplicité de la nature ; mais l’expression de Fénelon manque ici un peu de netteté. — De ces distinctions très-justes entre Homère et Virgile, ou plus généralement, entre les différents âges de l’épopée, on peut rapprocher une leçon (la 11e) du Tableau de la littérature au moyen âge, par M.

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