Sur cet avis ne sois point hérétique ; Car je te fais un serment authentique Que si tu crains ce doux médicament, Ton médecin, pour ton soulagement, Fera l’essai de ce qu’il communique Pour te guérir. […] Mais que le prince en donne une partie, Le tout, s’il veut ; j’ai bon consentement De l’accepter sans craindre aucunement.
Ce royaume n’avait que deux sortes d’ennemis qu’il dût craindre, les huguenots et les Espagnols. […] Il s’avisera d’une sorte d’ambition qui est plus belle que toutes les autres, et qui ne tombe dans l’esprit de personne : de se faire le meilleur et le plus aimé d’un royaume, mais non pas le plus grand et le plus craint.